p>Les aboyeurs du P.A.F. : des français contre des français.
Incroyable?
Ben non, c'est la triste réalité de cette époque troublée. Des français qui trouvent qu'il est nauséabond pour des compatriotes de s'interroger sur leur identité nationale face à l'afflux d'immigrés qui, non seulement ne s'intègre pas aux coutumes locales, mais encore perpétuent des provocations culturelles ou religieuses comme le port de la burqa intégrale.
Et au lieu de se souder les coudes pour faire front à ces provocations et défendre leurs valeurs, un certain nombre de citoyens de ce pays ne trouvent pas d'autres occupations de que vilipender, au nom d'un humanisme décalé, leurs compatriotes en les traitant de nauséabonds, de populistes, de xénophobes.
Ça y est, les fauves sont lâchés. Et pas n'importe les quels. Des bons, des médiatiquement cotés, des personnalités débitant leurs diatribes sur un petit peuple qualifié d'inculte, supposé inapte à se prendre en main, comme s'il ne pouvait pas se faire sa propre opinion par ses observations sur le terrain. Et de critiquer et de se défouler sur un ministre de l'immigration qui au contraires des ces personnalités médiatiques malotrues, garde son sang-froid pour gérer une situation qui devient de plus en plus, justement....... ingérable.
Le poids des mots.
Éric BESSON est certainement le ministre le plus intelligent et le plus efficace du gouvernement SARKOZY. Dans toutes ces interventions télévisées il fait état d'un calme d'homme d'état et prononce un discours inspiré par une dialectique irréprochable. On ne peut pas en dire autant de son harceleur médiatique, Didier PORTE.
Intelligence.
Ce qui rend la situation intenable et justifie ma réaction, c'est qu'il semble que l'intelligence aie quitté pour longtemps les esprits des personnalités dites de gauche et les cerveaux des humanistes.
Intelligence, me dites-vous, qu'est-ce que c'est? Vous trouverez dans les encyclopédies et autres ouvrages philosophiques un grand nombre de définitions. Mais pour la simplicité de ce discours, nous ne retiendrons que la définition de l'intelligence qui ne fait état que de la capacité, à un moment donné, de trouver à un problème donné, la solution la plus adaptée et dans un délai le plus court possible.
Or il se trouve que l'immigration connaît un accroissement jamais égalé à ce jour et que notre pays n'aura pas la capacité de tout accueillir. l'intelligence réside donc de pouvoir aborder le problème de l'immigration avec la lucidité qu'il convient.
Et cela ne va pas s'arrêter. Car notre bonne vielle Terre est maintenant surpeuplée et dès lors qu'elle ne peut qu'inégalement subvenir aux besoin des populations, celles-ci seront contraintes de chercher pitance ailleurs, là ou il y en a encore. Sans un arrêt immédiat des robinets des naissances, la misère et la famine vont s'installer durablement dans de nombreux pays (comme en Haïti tient, très bon exemple). Vous trouverez sur mon site de nombreux textes faisant référence à ce grand danger de la surpopulation.
Toujours est-il que le phénomène de l'immigration va s'aggraver et que l'Intelligence justement, c'est d'en prendre acte et d'édicter des mesures contre un phénomène qui deviendra vite ingérable.
Stéphane GUILLON
"Revendiquer l'indentité nationale, c'est nauséabond."
Xénophobie.
Comme si être xénophobe devait être une tare. La xénophobie devrait être considérée comme un instinct de protection du groupe. La xénophobie est montrée du doigt par des individus qualifiés de cosmopolites pour lesquels la terre appartient à tout le monde et les nations sont considérées comme des nuisances, des empêcheuses de tourner en rond. En y réfléchissant bien, ces individus cosmopolites ont été également les artisans du libre échange, du libéralisme mondial en supprimant toutes les entraves à un bon écoulement des marchandises et des personnes si favorables à leur petites affaires.
Qu'on puisse critiquer la xénophobie pour son manque d'ouverture aux autres cultures c'est une chose, l'injurier comme les font les intellectuels et les médias en ce moment est intolérable. Car peut-on reprocher à un peuple qui durant des décennies s'est battu contre des guerriers envahisseurs et ont su élaborer au cours d'une longue histoire difficile un art de vivre qui leur est particulier et qu'ils aiment (cf "Les escapades de Petitrenaud" sur france5) de s'opposer à des migrants qui ne respectent rien. Tout pays, toute nation ont une capacité d'accueil dotée d'un seuil qu'il ne faut jamais franchir. Et la xénophobie devient pourtant le sentiment dominant des européens en ce moment alors que ce seuil d'immigration est maintenant allègrement franchi. Mais dans notre pays on a pas le droit de l'exprimer.

Humanisme:
Tout ce qui existe dans notre univers est soumis à la loi des cycles. Naître, prospérer, mourir. Il en est de même pour les minéraux, les végétaux; les animaux, les humains et leurs concepts intellectuels. L'humanisme a été longtemps le fer de lance de la pensée humaine.. Il a permis l'éclosion de la liberté de conscience, de la parité masculin-féminin, de la laïcité, de la recherche scientifique. L'humanisme a eu son heure de gloire mais ne correspond plus à la réalité sur le terrain.
L'humanisme ne peut se développer qu'à de conditions: - Homogénéité des peuples et des cultures – absence de croyances en tout genre, religieuses comme idéologiques. C'est la raison pour laquelle, jusqu'à aujourd'hui, les peuples du monde ont réussi à se développer séparément dans des pays-nations autrefois souverains.
Mais aucun dirigeant, aucune personnalité politique n'ont voulu entendre les avertissements répétés de quelques sociologues et scientifiques sur l'accroissement de la population mondiale qui devient problématique. Même de nos jours, alors qu'à eu lieu le congrès de Copenhague, ce sujet n'a pas été ni évoqué et encore moins pris en compte par les dirigeants mondiaux. Les migrations vont entraîner des mélanges de cultures malheureusement bien trop dissemblables et donc non miscibles comme l'illustre la difficile cohabitation de l'islam avec la laïcité à l'occidental en Europe.
Dans ces conditions l'humanisme ne peut plus s'épanouir. Il est même carrément devenu inadapté pour harmoniser les rapports humains quand une des parties, en l'occurrence dans notre pays l'islam, refuse de le respecter comme tout un chacun peut s'en rendre compte avec ce symbole emblématique du port de la burqa.
Les associations humanitaires jouent en ce moment un rôle néfaste contre les peuples autochtones dont ils sont pourtant issus. Elles ne rendent pas service également aux peuples candidats à l'immigration dans les pays desquels les causes ne sont pas correctement traitées. Les membres de ces associations obéissent à la tyrannie feutrée de leurs émotions qui perturbent leurs facultés cognitives.
Si d'un point de vue économique, la genèse d'un gouvernement mondial semble s'imposer, sur le terrain de proximité, il nous faudra, hélas par la force, nous réserver des territoires viables qui ne deviennent pas surpeuplés. Ce que les pays feront d'ailleurs comme ils pourront pour contenir pendant un temps limité les flux migratoires avant d'être enfin submergés. Tant que ne sera pas jugulé comme il convient l'explosion démographique mondiale, aucune politique ne sera durable.
Populisme
Eh oui, ils sont beaux les aboyeurs du PAF. On les entend vibrer d'indignation et pourfendre ce qu'ils nomment avec un mépris profond le populisme. Je me souviens de la nausée exprimée par BESANCENOT sur le plateau de la regrettée émission RIPOSTE de France 5, retenir sa nausée de côtoyer un représentant du front national.
Personnellement je ne supporte plus le harcèlement de Didier PORTE sur les ondes de France Inter contre le ministre de l'immigration Éric BESSON à la dialectique pourtant irréprochable. C'est si facile de se moquer de l'homme quand on ne pas argumenter contre ses idées.
Selon le dictionnaire, le populisme désigne un discours politique proche du peuple et qui vilipende les élites et élides de la démocratie représentative. Le populisme s'apparente dans la bouche de ces aboyeurs patentés à la démagogie. Or justement, le populisme ressurgit toujours quand la démocratie est défaillante à cause d'une démagogie masquée et c'est le cas en ce moment dans notre pays. Le mensonge est érigé en système politique. On ment sur la croissance, on ment sur la réalité financière de la France. On ment également sur la réalité de l'immigration dans notre pays. Les politiciens des partis politiques traditionnels n'ont plus la cote auprès du peuple parce que ces mensonges n'ont plus de prise sur lui et c'est une chance si en ce moment il n'existe pas dans notre pays de personnalité politique suffisamment marquante pour rassembler tous les mécontentements économiques, sociaux et culturels comme cela fut le cas autrefois en Allemagne.
La reprise du thème de l'identité nationale par le Président Sarkozy s'inspire justement du populisme ambiant dont il sent depuis l'Élysée les relents mais qu'il compte bien exploiter électoralement avant que tout cela ne dégénère.
Relents qui arrivent également dans les narines sensibles des aboyeurs du PAF, mais dont ils pressentent le caractère hautement explosif. Morts de trouille, les humoristes, chroniqueurs patentés, tentent de calmer le jeu. Alors que le seul résultat escompté sera le retard de l'explosion ethnique qui sera d'autant plus dévastatrice qu'aucune mesure de fermeté ne vient enrayer la fatalité.
Le bien vivre ensemble.
Dans la présentation de son dernier ouvrage, "Pourquoi nous n'aimons pas la démocratie", Myriam REVAULT D'ALLONNES, philosophe expliquait que la démocratie fonctionnait d'autant mieux que le bien vivre ensemble s'établissait au sein de la république. Ce qui revient à dire que les populations qui composent le peuple français se reconnait dans une identité nationale justement. Le bien vivre ensemble ne s'établit que par le respect mutuel des populations régionales ou locales de valeurs communes malgré les différences. Langue vernaculaire unique, laïcité, démocratie, ainsi qu'une ancienne religion native voilà autant de bonnes raisons autour des quelles se constituent les nations.
Or ce n'est plus le cas en ce moment? Les populations immigrées importent avec elles leurs religions, leur cultures et la langues. Et surtout il n'y a aucune valeurs partagées avec le peuple d'accueil. Pire, il n'y a aucun respect quand on revendique sa différence par des tenues vestimentaires particulières vécues par certains français d'origine comme autant de provocation. C'est cela qui est fortement ressenti par de plus en plus de français, même celles et ceux issus d'une vielle tradition de tolérance. Un malaise qui grandit et n'est pas pris en compte par les politiciens qui appartiennent à l'opposition.
Mais ce qui devient insupportable, c'est que ce malaise est en permanence minimisé, voire conspué par des compatriotes et le bien vivre ensemble entre français se délite entre la grande masse des français d'origine et son élite pilotée par des intellectuels appartenant au monde cosmopolite. Une élite qui conspue, je le répète, en permanence avec le concours de ces aboyeurs humoristes du PAF qui sévissent en ce moment, les attitudes de repli de peur de gens pourtant compréhensible. Une attitude de repli et de protection du groupe. C'est sur ce genre de malaise que s'appuient les dictatures naissantes.
Conclusion
Loin d'être une calamité, le populisme représente donc une opération survie qu'il faut tout de suite mettre en application afin de limiter la déflagration ethnique qui ne peut plus maintenant manquer de survenir.
Alors messieurs les humoristes, ce serait plutôt vous les dangers pour la France, les nauséabonds.
Beurk!
Texte dédié à Didier PORTE, Stéphane GUILLON, Thomas LEGRAND, Olivier BESANCENOT, Vincent PEILLON et les socialistes en général.
PLM
Bibliographie

Pourquoi nous n’aimons pas la démocratie. On se souvient de la formule de Churchill : « La démocratie est le pire des régimes, à l’exception de tous les autres. » À l’évidence, nous n’« aimons » pas la démocratie. Et pourtant nous sommes tous démocrates… Étrange procès en désamour que celui-là, dont la virulence égale l’ancienneté : toute petite déjà, à Athènes, la démocratie ne manqua pas de détracteurs…
Myriam Revault d’Allonnes s’interroge, non pas sur les critiques ou les sarcasmes dont la démocratie est l’objet, mais sur la nature de l’expérience démocratique, travaillée par l’incertitude, le conflit, l’inachèvement, inextricablement liée à ce qui s’oppose à elle et la menace. Comment l’homme démocratique, confronté à cette existence toujours problématique, ne serait-il pas en proie à l’insatisfaction et à la déception permanentes ?
Cependant, si nous n’« aimons » pas la démocratie, pouvons-nous ne pas la vouloir ? Car c’est bien l’expérience démocratique qui fait de nous des sujets éthiques et politiques, des citoyens qui ne veulent pas être ainsi gouvernés : « pas comme ça, pas pour ça, pas par eux ».
Myriam Revault d’Allonnes est philosophe, professeur des universités à l’École pratique des hautes études. On lui doit de nombreux essais de philosophie éthique et politique dont Ce que l’homme fait à l’homme (Seuil, 1995), Le Pouvoir des commencements (Seuil, 2006) et L’Homme compassionnel (Seuil, 2008).
Après avoir tenté de parcourir cet essai indigeste, pondu par une intellectuelle qui se gorge de mots, on comprend pourquoi on aime plus la démocratie. Parce que la démocratie est phagocytée par des intellectuels de son niveaux dont les écrits et les discours plongent le peuple d'en bas dans la confusion des valeurs/ Un livre à surtout ne pas lire.
Quelques exemples comme illustrations.
Chapitre intitutlé :"Servitude et/ou inservitude involontaire"
On dirait du Ségolène Royal avec sa "bravitude". Car employer le néologisme "Inservitude" au mot courant et très signifiant d'émancipation, procède plus de la volonté de l'auteur de rassurer ses pais de l'université que de se faire comprendre d'éventuels lecteurs plus populaires désirant se cultiver ou d'approfondir leurs champs de réflexion sur une démocratie qu'ils jugeraient bien mal en point.
Mais continuons. Le chapitre débute ainsi:
- "Pourquoi les hommes combattent-ils pour leur servitude comme s'il s'agissait de leur salut? La question posée par Spinoza est à la fois sans équivoque et abyssale: la "servitude volontaire", selon la formule paradoxale de la Boétie, ne procède ni de la contrainte exercée par les dominants ni de l'acceptation passive des dominés. Le problème du rapport politique ne se réduit donc pas à cette question relativement simple: pourquoi les hommes désirent-ils commander? Il est à double face: pourquoi dans certaines situations, à la faveur de certaines circosntances les hommes désirent-ils obéir?"