Il a des couilles le journaliste
Bonjour à tous.
L'heure et grave et la situation des français est est suffisamment mal en point sur les plans économiques, sociaux et environnementaux pour que je prenne la responsablité de vous transmettre cet article qu'un correspondant m'a envoyé par fichier pdf (ci-joint pour celles et ceux qui voudraient connaître la version originale) et dont j'ai fait l'effort de transcrire pour la facilité de lecture.
Bonne lecture.
PLM
Retour sur l'Accident de Villiers-le-Bel
VILLIERS-LE-BEL
Révélateur du choc des cultures?
Secrétaire d'État chargée de la politique de la ville et ex-égérie de « Ni pute, ni soumise »Fadela Amara vient de déclarer « La politique de la ville, ce n'est pas qu'une question de fric quand vous êtes dans une cité et que vous avez les les boites aux lettres pétées, que ça pue dans les espaces communs, , que vous avez les carreaux cassés...C'est indigne de laisser vivre des gens dans des conditions aussi terribles. »
C'est qu'elle arriverait à nous faire pleurer mademoiselle « bela fou mouk » (« ferme ta gueule »= Car la vraie question est celle-là: qui a pété les boites à lettres qui ne l'étaient pas au départ? Qui est responsable de la puanteur dans les espaces communs? Qui a cassé les carreaux? Vous pouvez aller dans le 13ème arrondissement où habitent , dans de grands immeubles similaires à ceux des cités ethniques, des milliers d'Asiatiques. Les boites à lettres sont impeccables. Les espaces communs sont propres. Il ne manque pas un carreaux aux fenêtres.
Tout cela pour dire qu'il y en a assez de nous jouer, comme on l'a fait encore après l'accident de Villiers-le-Bel, « Les Misérables » et « les Deux orphelines ». Car c'est une partie qui habitent ces cités qui ont salopé des endroits de vie qui, au départ, n'étaient pas plus inconfortables que d'autres. Et qui même, par rapport à d'autres banlieues ou les habitants se comportent comme des personnes civilisées, sont suréquipées, bénéficiant de bibliothèques, de centres culturels, de salles de sports, comme nombre de banlieues rêveraient en avoir. A Villiers-le-Bel, ce sont les lieux de vie et de culture qui ont été prioritairement visés et incendiés. Autant de bâtiments coûteux que l'on va reconstruire – à nos frais – en attendant que, sous un autre prétexte, ils soient de nouveaux détruits.
Des accidents de la route tragiques, dus à des imprudences policières (ce qui n'est pas le cas à Villiers-le-Bel ou les deux accidentés circulaient sans casques sur une moto non homologuée), il s'en produit chaque année en France. Qui peuvent toucher des enfants de Vietnamiens, d'agriculteurs, d'employés de la poste, de Bretons, d'Alsaciens, etc. Avez-vous jamais vu une armée de Vietnamiens, d'agriculteurs, de postiers, e Bretons ou d'Alsaciens, se mobiliser pour se lancer dans de véritables guérillas urbaines? Tant que l'on expose pas clairement la spécificité de ces banlieues ethniques insurrectionnelles, toutes les mesures que l'on prendra auront autant d'effet qu'un cautère sur une jambe de bois.
Autre chose. La « grosse presse » a longuement insisté sur le fait que les deux « jeunes » accidentés étaient nés en France de par le « droit du sol » (1) Très bien. Mais comment se fait-il que ces deux « jeunes » Français aient été enterrés pour l'un au Maroc et pour l'autre au Sénégal? Pas besoin en l'occurrence, de longs discours pour montrer que la prétendue intégration (et ne parlons même pas de l'assimilation) de certaines catégories d'immigrés relève d'une véritables escroquerie. Et jusque dans la mort.....
Alain SANDERS
(1) Le droit du sol, c'est cette aberration qui équivaut à prétendre qu'un cheval dans une étable serait une vache.....
Pour certains, il est clair
que la guerre des cultures a commencé.
Je confirme le contenu de cet article. Bien qu'habitant un lieu privilégié, j'ai récolté de nombreux témoignages tout au long de ma carrière pour affirmer que dès qu'une famille maghrèbine s'installe dans un immeuble d'une cité quelconque, 10 ans plus tard, tous les locataires français d'origine ont déserté l'immeuble. Un phénomène qui s'étend peu à peu sur toute la cité. Voilà comment se créent les ghettos. Une cohabitation qui se révèle quasi impossible entre deux cultures dramatiquement différente. Le malheur c'est que les classes dirigeantes et les pouvoirs publics, au lieu de prendre en compte les revendications de leurs compatriotes autochtones, qui étaient là avant, les contraignent au contraire par des déclarations et par des lois (Gayssot) à supporter et à organiser l'intégration des immigrés, alors même que très peu d'efforts sont exigés auprès de cultures archaïques, voire pour certaines arriérées.
Pour avoir voyagé professionnellement en Afrique, je témoigne que l'attention apporté au soin et à la propreté et l'organisation de la vie communautaire ne font pas partie des caractéristiques dominantes de beaucoup de peuples africains (pour ne pas dire en totalité).. La pauvreté matérielle induite par le défaut de gestion et malheureusement à cause de la rapacité des acteurs économiques des pays industrialisés, la corruption généralisée des politiciens locaux n'excusent pas tout. La pauvreté de la population et la désorganisation administrative d'un pays ont surtout pour origine un manque de maturité intellectuelle des populations et de leurs élites. C'est pourquoi j'ai toujours été horrifié par l'ampleur de l'immigration en provenance du continent africain vers la France et l'Europe, qui outre la misère que ces populations emportent dans leurs bagages dépasse largement la capacité d'accueil de notre pays dont la population autochtone risque de crouler sous le nombre.
On ne peut pas fuir la misère. Ce n'est pas une fatalité. Elle vous rattrape toujours. A un moment donné il faut accepter de la combattre ou se résigner. Dans notre pays, ces populations ne pouvaient rencontrer que ce qu'elle fuyaient: la misère. D'autant plus évidente maintenant que cette misère s'étend actuellement sur les peuples autochtones qui connaissent désormais l' épouvante du chômage.
Donc les associations humanitaires, les associations de défense des droits l'homme comme les pouvoirs publics, tout ce petit monde sous estime volontairement le conflit ethnique qui se profile à l'horizon maintenant de plus en plus fortement. En gommant en nous la partie animale qui défend son territoire, les intellectuels humanistes commettent une grave erreur, comme l'ont révélé les remous provoqués par l'affaire de l'identité nationale. Ce mépris affiché de l'intelligentsia française envers ce qu'elle nomme le populisme ne peut conduire le peuple d'en bas qu' à la révolte suivant le scénario déjà vécu en 1789:
Équation à méditer
Misère (chômage) + mépris de la noblesse (c'est a à dire aujourd'hui des classes dirigeantes) = révolution =>fin de la démocratie => dictature.
D'autres difficultés actuellement vécues dans botre pays sont minimisées (cf l'ouvrage La épublique ou la Burqa de Dounia et Lylia Bouzar) et volontairement décalées menacent de survenir aggravant le fossé entre les cultures immigrées et celle du pays d'accueil. Un exemple en est donné en ce moment par le scandale de la violence faîtes aux femmes qui va conduire les pouvoirs publics a promulguer une nouvelle loi répressive qui ne sera pas effective puisque la violence faîte aux femmes concerne essentiellement des cultures immigrées dans lesquelles la lapidation des femmes est une punition admise, où la polygamie demeure une aspiration secrète et qui imposent le voile aux femmes. Inutile de faire un dessin. Pour autant la violence faîte aux femmes existe dans tous les pays, mais il est raisonnable de considérer qu'elle demeure marginale dans les pays pays qui ont promulgué la parité femmes – hommes. La encore les mesures prescrites par les associations féministes ne prennent pas en compte les différences culturelles. C'est en soi un véritable scandale.
On entend à loisir prononcer l'adjectif qualificatif de nauséabond par les ténors de la classe dirigeante, de l'élite, de la gauche ou des défenseurs des droits de l'homme à l'égard des français qui prononcent des déclarations revendicatives sur l'identité nationale. Alors que ce qui présente un relent nauséabond c'est de sous estimer les dangers qui menace notre société et le peuple français serait en droit de réclamer des explications pour dérteminer dans quel camp ces personnalités médiatiques se situent: solidaires de leur compatriotes français d'origine ou travaillant pour le compte des immigrés. Un peu à la manière du personnage crée par James CAMERON, le marine Jake SULLY dans le film "AVATAR" qui finit endosser le costume de chef de la rébellion Na'vi contre les Terriens, ses semblables.
Une autre démonstration de la peu de l'Islma et des avantages condédé aux immigrés c'et la décision de la chaîne de restauration populaire et généraliste (il faut insister sur ce caractère) Quick de ne servir dans certaines banlieues que de la viande hallal. Voilà une illustration du recul considérable de la culture autochtone (suivant le même processus observé au Kosovo) face aux cultures immigrées, ce qui scandalise de plus en plus de français de souche, y compris parmi nos enfants qui se réveillent enfin de leur inconscience juvénile sur la menace réelle de domination des immigrés dans leurs pays. Mais surtout cela révèle à quel point l'élite et les pouvoirs publics démissionnent face à un danger de guerres sociale, civile et ethnique qui s'amplifie, et faute de mesures adaptées devient inévitable.
Par le biais de la natalité, les immigrés se sentent de plus en plus forts à mesure que leur démographie augmente et maintenant exigent des autorité françaises des emplois dans les administrations au motif de la représentativité ethnique. Il n'est que de citer les revendications du CRAN qui s'étonne qu'il n'y ait pas dans les hôpitaux plus d'infirmières ou de médecins noirs alors même que le seul emploi dans lequel ils sont représenté restent des emplois subalternes. Idem pour leur représentativité dans les universités, les grandes écoles, les écoles d'ingénieur.
D'un autre coté, il n'existe aucun parti politique capable de traiter avec justesse la confrontation des cultures. En dehors du Front National. Mais ce parti qui posent les bonnes questions ne propose aux électeurs que des programmes politiques incomplets. Il ne suffit pas de clamer le slogan "La France aux français" pour séduire une population qui s'inquiéte plutôt du chômage et de la retraite, de l'emploi et de l'essor économique de leur pays. Et c'est vrai que ce n'est pas le moment d'accentuer les interventions médiatiques des politiciens autour du seul problème de l'immigration, parce que c'est bien là que réside le dilemme actuel de la situation politique européenne actuelle: confrontés à une crise économique structurelle qui va durer, épuisent les budgets des états les politiciens ne peuvent disperser leurs esprits et dans la hiérarchie des urgences se concentrent dans la recherche de solutions économiques. Cela ne les empêchent pas de nous abreuver de discours soporifiques s'inspirant plus de la méthode Coué que du réalisme politique.
Actuellement, notre avenir est assombri par deux fronts aussi dangereux l'un que l'autre: la crise économique - la survie de notre identité nationale.
Dernière minute. Khadafi invite les musulmans à la charia contre la Suisse coupable de son référendum contre les minarets.
On croit rêver?
Non c'est un cauchemar. PLM