LA DIPLOMATIE DE CONNIVENCE
Les manipulations de l'Oligarchie Financière Internationale.

Depuis la chute du Mur de Berlin, le système international est devenu une sorte d'énigme, que les spécialistes peinent à décrypter et qualifier. Vit-on désormais dans un monde « post-bipolaire » - selon une catégorie héritée du passé -, « unipolaire » - ce que dément l'impuissance américaine - ou « multipolaire » - alors que les puissances moyennes démontrent une faible attractivité ?
Derrière ce flou terminologique se dissimule une continuité profonde : la prétention des plus « grands », formalisée à partir de 1815 à travers une « diplomatie de concert », à se partager le pilotage du monde. On retrouve aujourd'hui cet entêtement oligarchique dans les nouveaux « directoires du monde » que seraient le G8 puis le G20, qui renouvellent pourtant les blocages.
S'autolégitimant autour de notions telles que l'« Occident » et la « démocratie », la « diplomatie de connivence » - telle que Bertrand Badie la qualifie - conduit à des conflits (Afghanistan, Irak) qui ensuite lui échappent. Figée dans un fonctionnement d'exclusion, elle suscite la contestation d'États (Iran, Venezuela), d'opinions publiques et d'acteurs - parfois armés - frustrés d'être écartés de la prise de décision. Limitées dans ses performances et protectrice de ses privilèges, elle met en scène la volonté de résoudre de grandes crises, comme celles affectant l'économie mondiale, sans parvenir à des réformes concrètes.
Phénix médiocre qui renaît toujours de ses cendres, la « diplomatie de connivence » est examinée ici dans son histoire, ses fonctions, et ses échecs. Bonne manière d'explorer aussi la notion obscure de « système international ».
Dieu sait si nous sommes particulièrement résistants à la théorie du complot. Mais force nous est donné de constater que les éléments troublants en faveur de cette théorie s'accumulent sans que nous puissions leur appliquer des explications rationnelles. Alors le doute s'installe. Nous pouvons retenir l'attentat du 11 septembre 2001 au USA sur les tours du trade Center qui présente de nombreuses zones d'ombre comme illustration d'un complot que nous pressentons désormais comme propbable. Et voici qu'aujourd'hui en ce 2 mai 2011 le monde sidéré apprend de la bouche d'un président Obama , apparemment satisfait de l'assassinat d'Oussama Ben Ladden. Et l'ensemble de la diplomatie occidentale de se réjouir d'un acte de vengeance à mille lieues de la tradition démocratique qui veut tout coupable puisse bénéficier d'un jugement. Dans cet évènempent également de nombreuses zones d'ombre et d'incohérences nous font douter de la réalité de cet information.
Commennt dans ces condition en pas penser à une connivence des pays libéraux pour faire tourner en bourrique les peuples crédules.
Il aurait été plus juditieux de ramener le corps de Ben Ladden, mort ou vif afin de lever tous les doutes. Il aurait été bien plus malin de l'avoir ramené vivant et d'offrir sa capture aux média audivisuels qui en auraient fait leurs choux gras.
De même que les mensonges éhontés qui ont servi à la guerre en Irack nous persuadent en effet qu'il existe une diplomatie de connivence entre les pays du G8 comme l'affirme Bertrand Badie.
Mais à notre avis, c'est beaucoup plus sombre et compliqué que cela. Ce ne sont pas les Chefs d' États qui gèrent ni leurs pays et encore moins maîtrisent la diplomatie internationale. Ils sont devenus des marionnettes manipulées par une sorte de club plus ou moins occulte composé par ceux qui détiennent véritablement le pouvoir, c'est à dire les investisseurs, les banquiers et les financiers: l'oligarchie financière internationale. Il suffit d'observer objectivement comment se réroulent les campagnes électorales (surtout aux USA) pour se rendre compte que les politiciens qui se font élire sont ceux qui ont le soutien des chefs d'entreprise. L'argent pourrit tous les rouages de la démocratie. C'est pourquoi toute les républiques qui se réclament deu libéralisme sont à notre avis des impostures.
Les graves erreurs de cette diplomatie de connivences.
Pour avoir stigmatisé les lois sociologiques et l'importance des sentiments patriotiques, l'ONU et l'OTAN, les deux rouages de cette diplomatie de connivence, ont accummulé des graves erreurs qui pèseront lourd sur la paix mondiale dans un avenir plus ou moins lointain.
Ces erreurs agiront pas synergie un peu comme le climat fomente les tornades.
Énumérons ces erreurs par ordre chronologique
- Israel
Les résolutions de l'ONU concernant les exactions de l'État d'Israel n'ont jamais eu de suite. C'est cela la diplomatie de connivence: aucun pays ne s'en indigne. L'injustice sévit donc en Palestine et les tensions s'accumulent. Pour l'instant, non seulement les palestiniens désorganisés ne sont pas en état de reconquérir militairement leur territoire mais en plus ils se heurtent à la diplomatie de connivence. La "tectonique politique" reste silencieuse. Les frottements ne sont pas encore suffisantes pour faire trembler les forces en présence. mais ce n'est qu'une question de patience.
On ne peut jamais construire un pays sur l'injustice.
- Le Kosovo
Exactement comme pour le Kososvo. L'attitude de l'OTAN a été lamentable avec ce conflit en intervenant uniquement en faveur des Albanais et stigmatisant les Serbes. Cela ressemble un peu au conflit en Palestine. Non seulement les albanais occupent illégalement le Kosovo mais en plus on sait aujourd'hui que ce sont les vrais provocateurs et ont perpétré des massacres contre les Serbes. Par réplique, les Serbes ont répondus par des excateions de même type envers les Albanais. Mais seul le président serbe Milosévic a été inculpé par le tribunal international qui n'a jamais établir sa culpabilité. Slobodan Milosévic est mort dans des circonstances étranges. théorie du complot?
Pour l'instant la Serbie reste calme car désireuse de rejoindre l'Europe pour développer son économie nationale. Mais le coeur des Serbes est rempli d'amertume et il ne fait aucun que lorsque les circonstances géopolitiques seront favorables, ceux-ci repartiront à la conquète de ce territoire qui leur revient de droit.
- l'Irack
Pourquoi avoir fait la guerre en Irack? Nous serons brefs sur ce conflit qui a été largement développé par les experts. Pour notre groupe, il est cependant clair que la véritable motivation de cette guerre a été inspirée au président américian Georges Bush, lequel ne brilla pas par son intelligence, par un lobbying forcené et intensifs des groupes sionistes américains. On sait désormais que ces sionistes sont prêts à tous les coups fourrés pour assurer la pérènité de l'État d'Israel. Et l'Irack constituait une grave mùenace pour les israeline par le soutien effectif de Sadam Hussein pour le Hezbollah palestinien. Et ces sionistes ont le soutien de la CIA qui se révèle un État dans l'État. Le périsent Obama est l'otage de l'administration américaine. Les rapports truqués de ce service secret ont servi de prétextes à l'attaque de l'Irack. Et il nous semblait que l'attentat du 11 septembre 2001 attribué à Al Qaïda aurait pus avoir le soutien de la CIA, car d'une part cet évènement désastreux a nécessité une organisation particulièrement complexe et de plus est arrivé fort opportunément pour convaincre les américains d'entrer en guerre.
Ce qui n'était qu'une vague hypothèse prend corps aujourd'hui avec l'assassinat d'Oussama ben Ladden. Au lieu de bénéficier d'un procès équitable, les autorités américaines ont préféré le liquider en brouillant les pistes. Sa mort évite bien des révélations? C'est bien possible.
C'est ainsi que les tensions politiques s'accumulent également dans cette région et pointent en direction d'Israel. Et le président américain Bk Obama, qui a pourtant été honoré du prix Nobel de la paix deveint un assassin. Quel destin inattendu pour cet homme autrefois prometteur.
- L'Afghanistan
La guerre en Afghanistan s'avère plus complexe qu'annoncée et tourne au désatre. Ce conflit coûte une fortune aux pays belligérants qui sont déjà lourdement endettés. Il semblent que la diplomatie de connivence ne tienne pas compte de ses erreurs. Son manque d'expérience devient problèmatique et il ne nous fait plus de doute que les acteurs de cette diplomatie de connivence, les politiciens Américains, français, anglais brillent par leurs incompétences.
- la Lybie

Comme les Amùéricains avec ben Laden,grâce à une justice expéditive, Nicolas sarkozy et Davd cameron seront-ils contraints à assassiner Mouamar Kadhafi?
Avec la Lybie, la diplomatie de connivence. Décidée par un président Sarkozy prêt à tout pour redorer son blason à un an de l'élection présidentielle alors qu'il est au plus bas dans les sondage, l'intervention militiare contre Sarkozy est une ineptie qui dépasse l'entendement. Alors qu'il avait reçu en grandes pompes Mouamar Kadhafi au palais de l'Élysée il y a quelques années, voilà que Nicolas Sarkozy fait volte face et déclare se porter au secours des rebelles menacés de représailles sanglantes. A la satisfaction d'un philosophe de pacotille plutôt connu pour sa suffisance médiatique que sa pertinence philosophique, BHL, voilà la France et son peuple embringués dans un conflit sur la simple impulsion d'un président dont l'ignorance en géopolitique est au moins aussi grande qu'il est imbu de lui même.
Heureusement que l'ONU a ratiré à Nicolas Sarkozy la direction des opérations militaires sinon le monde courait à la catastrophe.
Il faudrait interrompre d'urgence l'intervention en Lybie et laisser les Lybiens décider de leurs sort. Heureusement que le droit d'ingérence n'existait pas quand les Français ont fait leur révolution en 1789.
La liberté s'acquiert au prix de la vie.
En outre il est important de comprendre que la démocratie républicaine n'est pas exportable partout dans le monde. Surtout que cette démocratie est en moment en grand danger de perdition car elle s'est mise exclusivement au service des l'oligarchie financière internationale cosmopolite.
le 14 mai 2011: Mouamar Kadhafi nargue l'OTAN. Ce dirigeant lybien affirment que les frappent aériennes ne viendront pas à bout de son pouvoir. Alors que les mileiux diplomatiques pensaient que Kadhafi était blessé , il n'en est rien. Le conflit s'enlise dans la longueur. Les frappes aérienne contre Oussama ben Laden ont tout autant été infructueuses et seule une intervention terrestre a pu réussir (officiellement, il n'y a pas de preuves) à le liquider.
Au nom de la guerre contre le terrorisme, l'Amérique a commis un meutre. Pour mettre fin à leur agression contre la Lybie, Nicolas Sarkozy et David Cameron devront songerau meutre Mouamar Kadhafi.
Et le monde sera ainsi entrainer dans une spirale infernale.
Le droit d'ingérence

La « guerre humanitaire », telle que nous la voyons se développer du Kosovo à la Libye, s’accompagne d’une rhétorique toujours plus sophistiquée selon laquelle l’OTAN agirait au nom de victimes qui ne peuvent elles-mêmes agir. Selon les sociologues

c'est ainsi que J.C.Paye définit l'agression impérialiste de la France contre la Libye. Un agression pour laquelle les bombes humanitaires sont supposées aider les politiciens irresponsables comme Nicolas sarkozy et David Cameron pour des motifs électoralistes qui s'en sont pris à un pouvoir central souverain autrefois salué et désorrmais définit comme totalitaire mais qui auraient mal calculé leur coup. Tout ceci au nom d'un droit d'ingérence inspiré par l'oligarchie financière international qui veut asservir les Nations souveraines au profit de ses petites affaires. Ce même droit d'ingérence si cher à Bernard Kouchner qui a fait de si grands dégâts dans le conflit du Kosovo cité ci-dessus. Un droit d'ingérence sans fondement juridique mais qui entraine le monde dans des guerres sans fin avec des milliers de morts et des résultats très aléatoires qui vont conduire la diplomatie internationale dans un chaos politique généralisé. Un droit d'ingérence qui a introduit le contresens de la "guerre pour la paix" qui prend tout son ampleur dans ce conflit et au passage ponctionne l'argent des États pourtant très endettés.
Notre monde est entré dans un état d'irresponsabilité et d'incompétence généralisées.
La Syrie
Pourquoi l'ONU et l'OTAN n'interviennent pas en Syrie ou la rebellion est sévèrement réprimée par le pouvoir central en faisant de milliers de victimes?
Par souci de diplomatie de connivence. Il est en effet important de ne pas déstabiliser le président syrien Bachar al Assad. parce que la Syrie a signé (du règne de son père Bachar) un traité de paix avec Israel. Et en approfondissant un peu les motivations réelles des rebelles syriens, c'est ce traité de paix qu'ils voudraient remmetre en question. En fait il s'agirait d'une rebellion pro-islamiste qui s'abritterait derrrière des revendications démocratiques de façade.
Il n'en reste pas moins vrai qu'à travers le refus d'intervention de l'OTAN en Syrie, alors que celle-ci serait justifiée pour sauver des milliers de victimes, démontre à l'envie que la diplomatie de connivence obéit à des intérêts bien différents de ceux qu'exigeraient la Paix dans le monde.
..../.... à suivre