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![]() ![]() ![]() Islamisation et déclin de la FRANCE ![]() ![]() L'Europe a atteint un sommet unique de paix et de prospérité et, simultanément, un degré inégalé d'incapacité à subsister. Un démographe, Wolfgang Lutz, relève qu'«il ne s'est jamais produit d'inertie démographique négative à grande échelle dans l'histoire de l'humanité jusqu'à présent». Est-il inévitable que la société la plus brillante soit également la première à risquer de s'effondrer par manque d'aplomb culturel et de progéniture? Ironiquement, le fait de créer un endroit extrêmement agréable à vivre semble constituer aussi une recette de suicide. La Comédie humaine se poursuit. |
DUDH 1948 V/S SOUVERAINETÉ NATIONALE
Alors, dans cette logique d'une stratégie ou d'un combat ou d'une action politique pour redonner à la France son indépendance, sa souveraineté, sa culture, dans une logique de lutter contre le remplacement de population en cours en Occident en Europe et sur le continent américain par des invasions migratoires , il faut alors admettre que la France doit au péralble de toute action se détacher de la déclaration universelle des droits de l'homme. Une déclaration universelle pour laquelle l'Homme y est représenté, considéré sans racines, sans identité, sans appartenance à une nation définie où il existerait en tant que citoyen d'une communauté racio culturelle. C'est à dire comme migrant ou un apatride qui tomberait du ciel un peu au hasard de la vie.
La DUDH de 1948 a été pilotée par l'EMPIRE.
On en comprend mieux les effets dévastateurs sur les nations indépendantes à long terme.Alors qu'en définitive le constat est le suivant: Cette DUDH de 1948, soigneusement rédigée à la virgule près, n'a pas été concoctée par hasard. Même son intitulé a soigneusement été choisi pour qu'elle soit confondue avec la déclaration des droits de l'homme et des citoyens de 1789. Or dans la déclaration universelle des droits de l'homme de 1948, il n'est pas question d'évoquer le citoyen, c'est à dire un homme né et vivant dans un État, une nation, un royaume, un pays dans lequel l'homme a des droits et des devoirs comme tout citoyen en a forcément envers l'État et aussi envers la communauté à laquelle il appartient. Il suffit de considérer avec plus d'attention le préambule de la DUDH pour comprendre le rôle qui lui a été assigné par des rêveurs utopiques. Voici ce qu'il en est: --Considérant que la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénables constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde.-- Or justement , l'humanité n'est pas une famille mais un genre. Considérer que l'homme appartient à une "famille" et non à un genre représente le premier acte d'une tentative philosophique de nier les différences entre les hommes . Alors que l'Homme a démontré qu'il était pluriel dans sa façon de penser, de réagir, de se regrouper dans des communautés d'affinités et d'identités fortes. Des communautés qui se retrouvent facilement en conflits graves et souvent mortels. De la sorte qu'il ne peut exister l'idée d'un droit universel dans la mesure où ce sont les communautés qui définissent leurs codes, leurs règles qui leur sont propres dans le seul but de protéger leurs identités, leurs racines et les cultures qui leur sont spécifiques.
Il convient donc de raisonner en prenant conscience qu'il est important de prendre toutes les distances possibles avec une déclaration universelle qui est une distorsion grave de la réalité Une confusion si grave qu'elle ne peut générer que confusions dramatiques dans les définitions des rapports humains.
Personnellement, et c'est un sentiment partagé par un nombre grandissant de mes semblables, je considère que je n'appartiens pas à une famille humaine mais un un groupe d'hommes disposant d'une identité et des racines historiques qui lui sont propres et de ce fait je n'appartiens pas à une famille qui serait composée de groupes qui ne partagent mes valeurs, des groupes qui au contraire prétendent que leurs valeurs sont supérieures aux miennes et œuvrent pour me les imposer. Je ne considère absolument pas que les Talibans, les Africains, les Arabes sont des cousins de ma famille. En revanche, il est vrai que tous ces hommes appartiennent au genre humain.
Si les Français désirent retrouver leur identité, leur souveraineté culturelle dans le territoire dont ils sont les héritiers légitimes et historiques, il leur conviendra de prendre les distances avec un concept des droits de l'homme erroné et se détacher des institutions qui lui sont affiliées comme la Convention Européenne des Droits de l'Homme. Une DUDH de 1948 qui est un déni du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes.
HISTOIRE
Au début de l'année 1947, lors de sa première session, la Commission des droits de l'homme a établi un Comité de rédaction. Initialement composé de la présidente, Eleanor Roosevelt, du vice-président, P.C. Chang, et du rapporteur, Charles Malik, le Comité de rédaction sera élargi dans un second temps. Il se compose des membres suivants9 :
- Eleanor Roosevelt, 1884-1962, États-Unis, présidente du Comité de rédaction ;
- P. C. Chang, 1893-1957, Chine, vice-président du Comité de rédaction ;
- Émile Saint-lot, 1904-1976, Haïti, rapporteur du Comité de rédaction. La lecture de la DUDH a été faite pour la première fois devant l'assemblée générale de l'ONU par son rapporteur, Émile Saint-Lot ;
- William Roy Hodgson, 1892-1958, Australie, membre de la Commission des droits de l'homme ;
- Hernán Santa Cruz, 1906-1999, Chili, membre de la Commission des droits de l'homme ;
- René Cassin, 1887-1976, France, membre de la Commission des droits de l'homme ;
- Alexandre Bogomolov, 1900-1969, URSS, membre de la Commission des droits de l'homme ;
- Charles Dukes (en), 1880-1948, Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord, membre de la Commission des droits de l'homme ;
- John Peters Humphrey, 1905-1980, Canada, directeur de la Division des droits de l'homme des Nations unies.
Le Comité de rédaction se réunit pour sa première session du 9 au 25 juin 1947, puis pour une deuxième session du 3 au 21 mai 1948. Le projet de Déclaration rédigé par le Comité et transmis pour discussion à la Commission des droits de l'homme, puis au Conseil économique et social, et enfin à l'Assemblée générale. De nombreux amendements et propositions seront encore proposés par les États membres de l'ONU au sein de ces différents organes.