ÉCHEC DE LA SOCIÉTÉ MULTICULTURELLE EN EUROPE
La chancelière allemande Angela Merkel a affirmé samedi que le modèle d'une Allemagne multiculturelle, où cohabiteraient harmonieusement différentes cultures, avait "totalement échoué", alors que le débat sur l'immigration s'enflamme en Allemagne. Condamnée pa la classe politique allemande, la thèse de la chancelière allemande rencontre au contraire un écho favorable auprès du peuple germanique qui penses que leur pays s'abruti sous le poids des immigrés musulmans.

Angela Merkel est le seul responsable politique à avoir eu le courage d'avouer son constat. La France est le seul pays qui n'a pas encore compris les dangers de faire cohabiter des cultures qui ne peuvent pas se rencontrer.
Madame Merkel parlait devant les jeunes de son parti et a dit que l’espoir de voir naître en Allemagne une société multiculturelle s’était évanoui à tout jamais et que l’intégration des étrangers, principalement musulmans, avait échoué (gescheitert). Est-ce une simple riposte pour enrayer la chute libre dans les sondages ? Sont-ce les anciens démons de l’Allemagne qui se sont réveillés ? J’avoue hésiter sur la voie à suivre. Mais certaines choses sont évidentes : quand on veut vivre avec des gens, quand on vient chez eux, on est tenu de se rapprocher d’eux dans une certaine mesure. Or, les Allemands reprochent aux Turcs chez eux de toujours recevoir, de toujours revendiquer mais de ne jamais rien donner, ne jamais s’ouvrir et de continuer à regarder vers leur Turquie d’origine alors qu’une partie d’entre eux est née sur le sol allemand. Les immigrés, soyons justes, sont mus par des considérations exclusivement économiques, ce n’est pas le german way of life qui les attire, ils veulent simplement s’assurer d’un minimum de prospérité.
Selon de récents sondages, plus de 50% d'entre eux acceptent mal les musulmans. Plus de 35% estiment que l'Allemagne est "submergée" par les étrangers et 10% que l'Allemagne devrait être dirigée "d'une main ferme" par un "Führer"
Comment a-t-on pu penser qu'une société multi culturelle pourrait fonctionner d'abord entre des cultures si dissemblables qu'il est impossible qu'elles puissent se rencontrer par l'afflux important de peuples aux caractères ethniques si différents.
Affirmer par la suite que les pays européens manquent de main d'oeuvre qualifiée alors qu'il existe un chômage important dans ces pays alors que de surcroît l'économie est en récession procède d'un discours que les peuples d'origine acceptent de moins en moins entendre. D'autant qu'il n'est pas raisonable de penser qu'on puisse trouver les qualifications recherchées parmi les miséreux qui viennent chercher refuge chez nous. Sans montrer la moindre reconnaissance, et de surcroît, le nombre augmentant, avec les soutien de l'Élite Financière Internale Cosmopolite (apatride) qui a réussi à noyauter tous les partis poltiques, deviennent exigeants. La montée en puissance des partis nationalistes sur l'ensemble de l'Europe est la preuve est la preuve que ce disours ne passe plus. Mais les français ont perdu la conscience de groupe, perdu de vue la nécessité de préserver la Nation.
Il ne sert à rien de proclamer que les immigrés doivent s'adapter aux cultures hôtes quand ceux-ci deviennent si nombreux qu'ils constituent presque des territoires autonomes. Il existe pour chaque pays et chaque culture un seuil de tolérance qu'il aurait fallu ne pas franchir. En dessous de ce seuil, les chances d'assimilations sont probables, plus ou moins longues suivant l'ampleur des différences entre les mentalités et les cultures importées. Au dessus de ce seuil, non seulement il n'existe plus aucune chance d'intégration, mais en plus les populations immigrées deviennent suffisament importantes en nombre pour revendiquer à la fois leurs différences mais exiger les reconnaissances territoriales de leurs communautés. A l'instar de ce qui s'est passé au Kosovo.

Ces jeunes rappeurs ont-ils une chance un jour de s'assimiler dans la curlture française. Déjà ne doit-on pas s'interroger sur leur mode d'expression, le RAP, qui enclenche par sa violence sonore comme verbale un processus de division, voir d'exclusion?
Malheureusement il subiste encore en Europe des cerveaux dérangés favorables à l'immigration venant d'Afrique qui viendrait combler les emplois que les Européens boudent, et contrer la baisse de la natalité et enrayer le vieillissement de la population. Alors même que les ressources vont manquer partout et qu'il faudrait au contraire réduire la densité démographique partout dans le monde.
Il paraît maintenant évident pour un esprit lucide que la race blanche est menacée d'extinction subissant les attaques simultanées de l'intérieur par les juifs et de l'extérieur par les fondamentalistes religieux qui s'emparent des esprits faibles que sont les musulmans dans leur grande majorité.
Heureusement des voix s'élève comme Horst Seehofer, ministre-président (CSU) de Bavière son pays n'a "plus besoin d'immigrants de pays aux cultures différentes, comme les Turcs et les Arabes", car s'intégrer "est au final plus difficile" pour eux. Il énonce ici un constat accessible à tous.
Sauf du chef du Conseil central des juifs d'Allemagne, Stephan Kramer qui a rétorqué que le discours tenu par Horst Seehofer était "carrément irresponsable" et le débat sur l'intégration des immigrés "démesuré, hypocrite et hystérique".
Ah bon? Expliquez-vous Monsieur Kramer! Existe-t-il une chance pour qu'un musulman puisse s'assimiler au peuple allemand de culture d'origine judéo-chrétienne? Est-ce que les mentalités, les intelligences, les tenues vestimentaires et le moeurs sont compatibles avec ce peuple. Et en plus il faut évoquer les grandes différences dans aspects physiques comme la couleur de peau qui surprend d'autant plus que les immigrés deviennent nombreux.
Dans ce contexte, il n'est pas étonnant que le partisan de l’abolition des frontières, libéral et mondialiste à souhait, Frits Bolkestein estime ainsi que « l’intégration des minorités est le problème le plus important qui se pose à l’Europe ». Constatant l'échec du multiculturalisme, il ne voit d'autre solution pour les juifs que de quitter l’Europe
Il faut le répéter: quand la souveraineté d'un peuple se sent menacé, il faut redouter l'instabilité sociale qui peut en découler. Car alors, les comportements ne peuvent plsu être maîtrisés.
Échec de l'intégration scolaire.
Un récent rapport que doit bientôt remmettre le Haut Conseil à l'Intégration, les services d'éducation nationaux ont totalement échoué dans l'intégration des élèves issus de l'immigration. Cet échec risque de peser lourd sur les chances de survie des cultures occidentales. Dans de nombreuses crêches, des parents français d'origine se plaignent que leurs enfants ne puissent plus manger de jambon.
L'intelligence se résume souvent à regarder les problèmes tels qu'ils sont. Cela signifie qu'il ne faut ni les minimiiser ni les surévaluer. L'intelligence consiste donc à ne pas interprèter les difficultés, mais à les observer avec acuité. Ce n'est malheureusement pas souvent le cas. L'image ci-dessus devrait choquer pas sa brutalité et inciter à la prudence. La différence de teint saute aux yeux. La nier ne pourrait ocnduire qu'à prendre de mauvaises décisions.
L'ASSIMILATION, condition nécessaire et suffisante, est-elle possible ?
La bonne nouvelle c'est que, sur un plan purement dialectique, l'assimilation est possible même quand on a pas la même couleur de peau .
Les conditions d'assimilation sont les suivantes.
- montrer du respect envers le peuple hôte
- adopter les coutumes vestimentaires locales
- rassurer par la qualité du travail fourni.
- avoir la même couleur de peau (être invisible)
- ne pas dépasser le seuil démographique de tolérance
Chaque français peut désormais, avec le recul, observer que ces trois conditions ne sont pas réunies. Cela se traduit par le sentiment qui devient dominant parmi les citoyens de France (comme en Allemagne) se résume par cette interjection: "On n'est plus chez nous!".
Aux États UNis d'Amérique la mayonnaise "assimilation" n'a toujours pas réussi, des dizaines d'annés après la fin de l'esclavage. Les communautés se multiplies: chinoise, mexicaine, Porto-ricaine, Noire et Blanche. Aux USA, les territoires sont énormes et les communautés trouvent leurs places pour vivre isolées les unes des autres. Mais les niveaux de vie divergent fortement créant des tensions. L'Amérique est également entrée en récession économique (meme si elle le cache) et le chômage sévit. Ce qui veut dire, que les communautés les moins qualifiées et les moins strucutrées connaissent les premières la misère. Des villes comme Detroit, désertées par les blancs après les fermetures des usines de construction automobile, sont devenues des no mans'land, des zones de misère et de chaos social.
En France, qui va prochainement connaître une période de grande misères, déjà dans de nombreuses banlieues, les zones de non-droit se multiplient. Les blancs désertent ces zones déstructurées.
La situation s'aggrave et devient problèmatique
Le "politiquement correct" ennemi de l'intérieur?
A cause du politiquement correct, l'évolution des pays occidentaux est bloquée. Il est grand temps de remettre en cause un certain nombre de concepts qui ont échoués. Édictées par manque de lucidité, selon une vision utopique de l'homme, les européens ont conçu des lois qui en définitive menace leurs propres existences et qu'il faudrait abroger de toute urgence. Comme les droits de l'homme pour l'Europe, en France les lois Gayssot, certains articles du traité de Lisbonne. Les autorités politiques doivent maintenant admettre que les hommes ont des devoirs envers leur pays et que la circulation d'étrangers doivent être asserties de de devoirs envers les pays d'accueil. Il faut surtout admettre qu'il existe des différences de caratère et de mentalités entre les ethnies qui sont incompatibles qui sont trop profondes.
Il y a un long travail à entreprendre et il n'est plus sûr qu'il puisse être entrepris dans le cadre d'une démocratie. Pour plusieurs raisons, mais surtout à cause du politiquement correct.
La survie des pays européen dépendra essentiellement des capacités des peuples à réagir face à un problème immensément dangereux pour leur souveraineté territoriale. Il n'est plus l'heure de tergiverser entre des traditions humanistes utopiques et des nécessités de preserver les cultures occidentales.
Seules, des mesures radicales pourront sortir les pays occidentaux de cet énorme étau qu'est devenu l'immigration africaine.