div align="center">LE DÉCALAGE DES POLITICIENS
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Dis papa, pourquoi le dindon se dandine? Parce-que sa dinde à dit non! |
L'humanité ne semble pas à la hauteur de la situation. Plus le temps passe, plus les indicateurs économiques virent du vert au rouge, moins les gouvernement mesurent leur impuissance.
La mondialisation de l'économie provient des rétrécissements de marchés locaux. En allant chercher pitance ailleurs, les économies se sont entrechoquées pour se faire une guerre impitoyable.
Aujourd'hui ce sont nos politiciens qui deviennent pitoyables et, toutes choses confondues, les français se rendent compte qu'on peut attribuer une note spéciale à nos politiciens, à Mr SARKOZY en particulier qui commence à faire l'unanimité des critiques journalistiques à son sujet.
Le nouveau président américain, Barack OBAMA, dont le métissage est si emblématique, est le seul dirigeant qui apparemment possède une conscience aiguë de la gravité d'une crise sans pour autan, si on en juge pas ses déclaration, avoir réalisé le caractère définitif de la fin d'un cycle économique.
Pour en revenir à notre pays, notre pauvre pays, l'incompétence de l'ensemble de la classe politique est manifeste. A droite comme à gauche. Autant à droite qu'à gauche. Quand au Front National, malgré une lucidité sur la situation culturelle de la France, il est complètement largué économiquement et n'a plus aucune chance de revenir sur le devant de la scène politique.
LA FIN DE LA DÉMOCRATIE.
Selon certains auteurs cette fin est programmée.
Les circonstances économiques actuelles accentuent l'agonie de la République, mais le début de la fin à commencé beaucoup plus tôt avec l'avènement de Jacques CHIRAC et de sa clique politique, voués à l'ultra libéralisme. C'est à ce moment qu'à été perpétré la dilapidation des richesse de la République Français au profit des copains et des coquins des partis de Droite comme le RPR devenu par la suite UMP qui a bénéficié du soutien actif des centristes, et de la complicité imbécile de politiciens comme Lionel Jospin, qui se sont révélés particulièrement incompétents en appliquant exactement le contraire des idéaux du Parti Socialiste dont ils sont issus.
La fin de la démocratie se dessine à partir du moment ou toute la classe politique se rallie autour d'un même principe économique particulièrement injuste quand il n'assure plus à tous les citoyens de quoi subsister.
Ce n'est pas un hasard si en 2007, les élections présidentielles ont offert au peuple français un choix de deuxième tour de personnalités particulièrement incompétentes. Nicolas SARKOZY et SÉGOLÈNE ROYAL
Le Président SARKOZY
Les deux personnages candidats ne partagent pas la même incompétence. Heureusement ou malheureusement, car cette réalité a fait croire aux électeurs qu'ils pouvaient faire un choix. SARKOZY, tout ce qui compte de journalistes et de chroniqueurs le scandent aujourd'hui, se révèle un prétentieux, carriériste, impétueux, volubile, brassant beaucoup d'air avec beaucoup d'effets d'annonce.
Cet homme est extrêmement (au sens strict de l'adverbe) dangereux pour deux raisons.
- Il a brigué la magistrature suprême alors qu'il connaissait exactement l'état catastrophique des finances de la France.
- Il continue les réformes libérales de démantèlement de l'État alors que tout l'édifice économique libéral s'écroule autour de lui.
- Il entreprend des plans de sauvetage pour sauver de la faillite ses copains banquiers et industriels privés en aggravant la dette publique du pays donc en engageant durablement les capacités de remboursement des citoyens français.
Actuellement, le peuple français ne manifeste pas suffisamment ses doutes sur ce personnage caricatural, personnifiant les démesures de l'incompétence, de la vanité, de la prétention , de la 'agitation confondante et exécrable Bref un comportement général annonçant la fin du régime présidentiel de la 5ème république et probablement de la démocratie.
Si vous lisez ces lignes, prenez conscience qu'il est urgent de stopper net la course de cet homme par un coup d'état/
SÉGOLÈNE.
Les ouvrages écrits concernant la personnalité de Ségolène ROYAL sont nombreux.
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Il y existe de nombreuses similitudes entre Ségo et une pintade: le culot, l'absence du doute de soi par exemple. Eh puis la pintade est un volatile plein de bravitude et d'espoirité. |
Si cette femme ambitieuse, autoritaire, au moins aussi prétentieuse que SARKO, a obtenu quelque notoriété politique, c'est que par malheur, elle a bénéficié de la déliquescence du Parti Socialiste qui s'est lamentablement illustré en 2005 pendant la campagne référendaire du traité de constitution européenne ? Ségolène personnifiait à ce moment là la seule alternative crédible en incarnant la modernité et le renouveau aux yeux des militants socialiste qui en avaient assez des rodomontades des anciens responsables politiques du parti, aux discours lénifiants et archi connus et dépassés réitérant les même poncifs éculés et qui, de surcroît ne peuvent,ni les uns ni les autres, revendiquer la moindre réussite pendant leurs passages au gouvernement ou aux responsabilités publiques.
Cette femme présente énormément de similitude avec l'oiseau de basse cours qu'on appelle la pintade. Petite cervelle dénuée de bon sens, incompétence hallucinante, acariâtre et autoritaire, capable de persécuter les gens qu'elle n'aime pas, incapable d'impartialité ou de bénévolence envers qui ne l'aime pas.
En Charente Poitou, Ségolène est considérée comme une terreur par ses administrés qui craignent tous les représailles budgétaires en cas de divergences ou de contestation.
Les critiques de certains ouvrages sur Ségolène sont très sévères. Évelyne Pathouot n'y vas pas de main morte. Évelyne qui vient d'ailleurs de gagner son procès contre Ségolène, information qui n'a que très peu bénéficié du relais des journalistes d'information au moins dans l'audio-visuel. Les rapports étroits qu'entretiennent les milieux politiques et journalistiques laissent parfois les citoyens perplexes, et on peut s'interroger sur cette absence de publicité autour d'une affaire judiciaire dans laquelle la plaignante, ancienne collaboratrice.
Mais en dehors de ce dysfonctionnement judiciaire dans son action politique, des témoignages accablant recueillis uniquement par des sites web, on peut s'interroger sur les concepts nébuleux et hyper dangereux de Ségolène comme l'ordre juste, de ses nombreuses références religieuses au catholicisme. Ne sont-ce pas là des signes tangibles d'un esprit confus qui, pour palier l'incompétence caractérisée en politique générale, tente de séduire l'électorat avec des paroles religieuses en se présentant comme une rédemptrice indispensable ?
Heureusement, l'immense vantardise ou prétention de cette dame, qui égale en de nombreux point la vanité de son ancien adversaire du second tour, un certain Nicolas ?
L'EXTRÊME GAUCHE.
Une des raisons pour laquelle la démocratie est, c'est l'absence de cnadidats à une relève politique durable. Mr Besancenot n'est pas crédible. Son discours, emprunt de gentillesse maladroite, se réfère hélas à l'ancien discours maintenant éculé sur la lutte des classes, l'idées que les salauds de patrons exploitent depuis des lustres des travailleurs français devenus en contre partie exemplaires. La lutte révolutionnaire dépassée dans toute sa caricature.
Pour Olivier BESANCENOT et toutes celles et ceux qui s trouvent dans sa mouvance, la création de richesses économiques n'est pas leur souci majeur. Tout ce qui compte à leurs yeux c'est leur seule répartition. Dans ces conditions, un discours monolithique comme celui là conduit inexorablement à la misère les peuples qui l'adoptent et le mettent en application, comme à Cuba, par exemple.
La vie économique ne se résume pas aux conflits sociaux entre les créateurs de richesse, d'un coté, les ignobles exploiteurs, et les salariés dont le travail participe également à la production de richesse mais hélas pas à sa génèse.
Des conflits, des patrons pourris, des travailleurs indélicats et paresseux ayant une très haute estime de soi, il y en a toujours eu. Les conflits sociaux sont comme les marées, avec le flot ou le jusant, un coup je gagne - un coup je perds qui n'ont pas tant d'intérêts tant que les usines tournent.
Mais de nos jours, les commandes se rétrécissent, les concurrences sont déloyales et impitoyables et les luttes ouvrières n'ont plus aucune raison d'être. Il n'y aura plus beaucoup de richesses à se partager.
Mais au moins, il faut garder à l'esprit un élément capital, c'est les partis d'extrême gauche ont lutté de toutes leurs forces contre le traité constitutionnel de Giscard.