La grave crise économique mondiale qui sévit en ce moment sonne le glas d'une époque. Délibérément, les intellectuels et la classe politique n'ont cessé de dénoncer la perversité et la lourdeur par l'État Républician ou Providence du développement économique national. Sous l'impulsion d'une oligarchie financière internationaliste, la propagande libérale s'est construite autour de l'idée de la supprématie des marchés et des initiatives privées sur l'initiative publique pour ce qui concerne l'économie générale et le bien-être des populations, autour de mensonges éhontés comme par exemple celui d'affirmer que la concurrence est un atout pour les consommateurs et pour l'essentiel que seuls les intérêts privés sont bien gérés et que l'État est un gaspilleur de l'argent public. De ce fait les entreprises publiques étaient prétendues ne pas être compétitives dans une économie ou la concurrence devenait implacable du fait de la maturité des marchés dans une économie en début de récession.
C'est ainsi que s'est opéré par idéologie libéraleles destructions minutieuses des Nations et des États providence avec les conséquences que nous connaissons aujourd'hui. De la même manière s'est contruite l'Europe des marchés. Una Europe où les peuples ont été mis en concurrence et qui va imploser.
A l'heure actuelles les nations sont financièrement exangues, les dettes publiques colossales. des rumeurs alarmantes font état de la dilapadition des réserves d'or des banques nationales pour financer secrêtement des dépenses comme des interventions armées.
De surcroît, les intellectuels et la classe politique ont validé, comme Pierre Bérégovoy en France, l'entrée de la finance spéculative dans l'économie réelle. Il fallait donc que les État privatisent leurs entreprises publiques, présentées comme déficiatires et mal gérées pour les investisseurs privés s'en emparent. Les fonds de spécualtion et les fond de pension sont les pricipaux responsable de la dsiparition des sites industriels dans les pays les plus socialement avancés.
Les responsablitiés des intellectuels sont très lourd dans les banqueroutes des nations comme la Grèce, pour l'instant en survie.
La reconstruction de l'État providence est le seul remède véritable à la crise économique qui secoue le monde occidental et son économie libérale. Une crise sévère qui marque la FIN de la croissance des richesses produites et échangées.
En opposition à la répartition des richesses qui exige une croissance continue impossible à soutenir indéfiniment du fait des limites de notre planète nous devons réformer la répartition du travail, seul remède à un emploi pour tous. C'est à dire qu'il faudra, outre mettre sous la protection de l'État des industries qui tourneront désormais au ralenti, créer des emplois non productifs en terme de dividendes redistribuées à des actionnaires, mais utiles à la société dans les loisirs, l'entretien et la protection de l'environnement, etc..

Présentation de l'Éditeur
La synthèse d'une OPA géante sur la France. 4 000 heures de travail pour regrouper et synthétiser, sur cinq ans, 20 000 articles de presse et publications économiques et financières... Ce livre, à partir de fait avérés et publiés, est le premier à mettre en perspective et à décrire la gigantesque " Opération Publique d'Achat " sur le patrimoine public des Français, et ce, au profit des grandes sociétés multinationales et des fonds de pensions américains. En 2006, la dépossession porte sur plus de 500 milliards d'euros d'actifs : grandes sociétés nationales, transports aériens et ferroviaires, aéroports et réseaux autoroutiers, bâtiments publics, foncier domanial, patrimoine historique et artistique, musées nationaux, industries de la Défense, stock d'or de la Banque de France... La privatisation sournoise du système public de protection sociale et de retraites, l'abandon à la spéculation anarchique du domaine public et du littoral, la privatisation rampante de l'eau, de l'image, de l'espace... sont également étudiés, ainsi que les techniques financières de dépossession et les montages sophistiqués sur fond de laxisme et de démission. L'auteur souligne le rôle des syndicats (CGT, CFDT, FO, CFTC, SUD, CGC, etc.) pour la défense du service public et de l'emploi et contre les délocalisations et la désindustrialisation imposées par Bruxelles. Prévision 2010, la France en cessation de paiement ! Après avoir décrit l'évolution des paramètres clés, qui, en dix ans (1989-1999), ont conduit l'Argentine à la cessation de paiement, l'auteur étudie l'évolution de ces mêmes paramètres pour la France et annonce le risque d'une faillite en chaîne des budgets publics à l'horizon 2010 : Etat, caisses de protection sociale et de retraites, collectivités locales ! En vingt ans - la double décennie PS/UMP - la dette de l'Etat français aura augmenté de 1 000 milliards d'euros (période 1986-2007, prévision). Le cumul des braderies en cours et de l'augmentation de la dette de l'Etat représente le chiffre effarant de 1 500 milliards d'euros dilapidés... de quoi offrir au peuple français un patrimoine équivalent à 10 millions de logements neufs, de 150 000 euros chacun (1 million de francs). La France n'est pas le seul pays européen concerné. Mais la richesse historique considérable de son patrimoine et ses atouts économiques, géographiques, culturels, donnent à ce gâchis sans précédent dans son histoire une dimension toute particulière... existentielle. A la vitesse de 1 milliard d'euros par semaine pour le budget de l'Etat, cumulé avec 1 milliard d'euros de déficit par mois pour les budgets sociaux, le peuple français, désinformé et inconscient, marche vers " la finale argentine ", autrement dit vers l'abîme.
C'est pourquoi il devient urgent de procéder d'une part à la reconstruction de notre pays en renationalisant toutes les entreprises publiques bradées par les libéraux de droite comme de gauche aux capitaux privés et d'autre part en renégociant tous les traités de l'EUROPE ultra libérale qui met TOUT (en particulier hommes et peuples) en concurrence. Le concept d’État-Providence ne procède pas d’une idéologie politique en opposition à d’autres idéologies déjà expérimentées. Il va s’imposer peu à peu comme étant le seul recours logique. La première ébauche du concept de l’État Providence voit le jour en Allemagne, avec le chancelier BISMARK. Mais la notion de l’État Providence a toujours sommeillé dans l’inconscient collectif des populations puisqu’on accordait aux rois des origines divines. Qu’y a-t-il de plus protecteur qu’un dieu ? C’est le moment de se réveiller et de vaincre ses croyances idéologiques personnelles et de se rassembler dans un combat pour notre avenir à tous.
Contrairement à la propagande des ultra libéraux, l’État-Providence n’est pas synonyme d’absence de libertés pour les citoyens. En fait elle ôte le pouvoir issu de la loi de la jungle si cher aux spéculateurs de s’enrichir sur le dos des citoyens. En revanche, l’État-Providence garantit les libertés fondamentales de tout individu de trouver la dignité dans le travail, de pouvoir entreprendre, de trouver du choix dans la consommation des produits, de trouver de l’émulation individuelle à travers une concurrence loyale garantissant le mérite.
Demain il n’est pas sûr que les humains puissent trouver le bonheur par une nouvelle croissance dans la production de richesses alors qu’ils vivent sur une planète qui devient trop petite et dont on a surexploité à la fois les ressources naturelles et sa capacité de recyclage.
Le respect de notre environnement et de la dignité des hommes passe par la reconstruction de l’État-Providence.
Ce qu’il faut espérer c’est que cette idée s’imposera dans les esprits le plus tôt possible avant qu’il ne soit trop tard.
L’ÉTAT PROVIDENCE EN CRISE
Si aujourd’hui l’état-providence est en crise, c’est uniquement dû à la gestion calamiteuse des politiciens de tout bord à partir la première cohabitation de 1986. A partir de cette période, le démantèlement de l’état s’est opéré de deux manières
- Par une aggravation considérable de l’endettement public pour combler les déficits budgétaires consécutifs à de mauvaises estimations de la croissance économique du pays
- Par la grande braderie organisée du patrimoine public perpétrée par la DROITE comme par la GAUCHE
Ces deux conjonctures cumulées vont mettre en grande faillite les finances publique et mettre fin à l’état-providence français et provoquer une grave crise de la Nation.
Le texte qui suit s’inspire totalement de l’ouvrage de JEAN ROUX, « La Grande Braderie du Patrimoine Français ». Il faut reconnaître que parcourir cet ouvrage exige de s’accrocher aux branches. Comment des femmes et des hommes politiques des grands partis de droite et de gauche ont-ils pu laisser filer les richesses des français au profit du grand capital ? Comment n’ont-ils pas pu ressentir des remords ? Quels liens entretenaient-ils avec les milieux capitalistes ? Ces deux partis, RPR-UMP et PS ont-ils été infiltrés par des taupes du grand capital ? Et quelles sont ces taupes ? Ont-elles une apparentée avec les milieux du grand capital ? Pourront-nous un jour les identifier ? Hélas oui ! Personnellement je pense les avoir identifiés. Mais je vous laisse le soin de le faire vous-même.
Notre univers est en perpétuelle évolution et les mauvaises actions finissent toujours par émerger au grand jour. Ne dit-on pas que l’on récolte ce qu’on sème.
Il faut craindre que les politiciens français contemporains n’aient semé de véritables cyclones politiques qui vont éclore prochainement et que seront les prochaines révélations sur les mensonges d’état. Et c’est pour cela qu’en sémantique, la signification populaire du mot « apocalypse » s’apparente à une « fin du monde ». Cela risque d’être une sorte de fin du monde pour la démocratie.
Ce que décrit cet auteur est si grave qu’elle écorne définitivement les réputations des politiciens français, du moins ceux qui ont accédé au pouvoir et qui se sont comportés misérablement, risquant de mettre en péril la République Française par la défiance des électeurs vis-à-vis de la classe politique.
Nous vousen laissons en juger.
Quelques chiffres
Dette publique :
- 1969 : 100 milliards de francs = 15 milliards d’€
- 1974 : 200 milliards de francs = 36 milliards d’€
- 1981 : 500 milliards de francs = 75 milliards d’€
- 1986 : 1200 milliards de francs = 180 milliards d’€
De 1986 à 2002, les privatisations rapportent 600 milliards de francs, soit 90 milliards d’€
- 2003 : 6520 milliards de francs = 1000 milliards d’€
- 2006 : 1120 milliards d’€
- 2009 : 1387 milliards d’€
Déficit budgétaire:
Rien n’a été fait pour les résorber. Et ceci malgré un prélèvement fiscal écrasant de 43.5% du PIB en 2004, et un record de plus de 44.5% en 2008.
De 1997 à 2002, sous le gouvernement de Lionel JOSPIN, le cumul des déficits français s’élève à 215milliards d’€.
En 2003, les déficits publics dépassent les 3% du PIB
Les dépenses publiques :
Elles s’inscrivent autour de 54% contre 47% en Allemagne, 41% au Royaume Uni et 32% aux USA et 30% au Japon.
C’est l’énormité du gaspillage accompagnant la dépense publique, dénoncées par tous les économistes, qui est l’une des causes fondamentales de la paralysie de l’économie française.
Une majorité d’économistes fixent ce gaspillage à 90 milliards d’€.
D’innombrables mesures sont proposées pour lutter contre ce gaspillage, mais la classe politique ne bouge pas.
Autrement dit, non seulement la grande braderie du patrimoine français au grand capital, ne servira à rien si la classe politique ne révise pas la gestion des finances du pays en s’attaquant avec acharnement aux gaspillages, mais en plus, cette braderie a privé l’Etat français de nombreuses ressources économiques et gravement compromis sa maîtrise des développements industriels stratégiques.
C’est le seul sens de mon combat en politique. Il n’y a surtout pas de motivations d’ordre personnel. Restaurer l’état - providence, retrouver et redonner aux français tout le patrimoine qui lui a été volé, redonner confiance au peuple dans la démocratie, si cela n’est pas trop tard, voilà la seule mission qui soit digne d’être endossée.
Les responsabilités morales de tous les politiciens sont en cause. Celles et ceux qui, dans l’opposition, ne se sont pas révoltés contre ces privatisations lamentables devront s’espliquer devant le peuple. Il faut citer les partis politiques du programme communs, mai également les partis centristes, écologistes, qui ont forcément tous été au courant et de ce fait sont à mettre dans le même panier de crabes que les véritables coupables. Jacques CHIRAC, Edourd BALLADUR, Alain JUPPE, Lionel JOSPIN, Jean Pierre RAFFARIN, Dominique de VILLEPIN.
Il faut craindre que ces écrits prêchent longtemps dans le désert. Dans les mains de l'Oligarchie Financière Intrnationale, aucun medium, aucun groupe audiovisuel n'a accepté de diffuser la propmotion de l'ouvrage du commissaire au compte, Jean ROUX en 2006.
Mais même si la tâche est ardue, presque impossible, il faut l’entreprendre en sachant que tout rétablissement politique passera nécessairement par des épreuves terribles