Notes du webmaster
Il s'est passé presqu'un an avant que je décide d'ouvrir cette page sur cette artiste issue de l'immigration qui a si férocement insulté un groupe de Français auquel j'appartiens. La colère et l'émotion ont été jusqu'à maintenant trop fortes pour que je sois enclin à raisonner sur le fond de l'affaire, comme nous avons coutume de faire sur etat-providence.fr.
En me servant des articles trouvés ici et là sur le web, voici donc une tentative d'analyse sur un évènement qui a irrémédiablement échauffé les esprits et probablement compliqué durablement le destin de cette jeune personne.
LE CALVAIRE DE SOPHIA ARAM
Elle a peur, Sophia Aram. Elle prétend qu'elle n'est pas intimidée, mais ce n'est qu'une bravade. L'inquiétude ne doit plus la quitter. Il est évident que sa vie a été bouleversée depuis qu'elle s'est permise d'insulter gratuitement dans une de ses chroniques sur les ondes de la radio publique France Inter interpellant les électeurs du Front National en les qualifiant de "Gros Cons".
Pour France Inter la vie a changé également. Cette radio n'en finit pas de recevoir des messages d'insultes et de protestations. A juste titre.

Sophia Aram.
c'est la preuve qu'une femme peut être brune, jolie et posséder une cervelle d'une "blonde".
Oui cette jeune et jolie jeune femme à la cervelle de moineau doit désormais demander la protection de la police pour poursuivre sa carrière tant elle craint pour sa santé ou sa vie. Évidemment, comme tout le monde le sait sauf elle, qui sème le vent récolte la tempête. Sauf que dans cette affaire ce ne sont pas les vagues de mer qui font rage contre elle mais des menaces, énormes et grossières, éclatantes de méchanceté et de colère. Des réactions sommaires induite par le vent insultant que cette étourdie a semé contre certains Français.
"J'ai reçu beaucoup d'insultes" admet-elle. Du genre "on va t'enfoncer une saucisse dans le cul". Mais la colère des électeurs du Front National ne s'est pas apaisée au fil du temps et les insultes sont devenues des menaces.
"Au départ, je n'ai pas pris tout cela très au sérieux, mais lorsque les menaces se sont faites plus précises, on a un peu renforcé la sécurité à l'entrée de mes spectacles. Je ne m'attendais pas à ces réactions. Pendant ma chronique, le micro de Jean-Marie Le Pen était ouvert, comme chaque fois, il aurait donc pu intervenir mais il n'a pas réagi". Piètre défense !
C'est incroyable!
Elle s'attendait à quoi en prononçant sa diatribe? A des remerciements? A de la reconnaissance? à des applaudissements?
Mais c'est hallucinant! Elle aurait dû savoir que sa chronique serait perçue comme une déclaration de guerre envers certains auditeurs de France Inter. Elle aurait se préparer lucidement à encaisser les conséquences. Elle aurait peut-être dû faire cette démarche mentale qui consiste à se mettre dans la position des gens à qui elle adressait sa critiques. La direction de France Inter aurait dû la mettre en garde qu'à l'inverse si un chroniqueur français avait qualifié à la radio les algériens de gros cons, c'est à parier qu'elle aurait été la première à considérer que c'eût été un premier acte de guerre contre le peuple auquel elle appartient.

le directeur de France Inter Philippe VAL est au service uniquement du cosmopolitisme. La réputation de grande ouverture d'esprit qui lui vient de son passage à Charlie-Hebdo est connue de tous les auditeurs. Gare donc pour lui aux retour de bâtons. D'autant qu'il a limogé une humoriste autrement talentueux, Stéphane Guillon pour avoir brocarder férocement une homme politique d'envergure sur ses comportements discutables avec les femmes, mais sans l'insulter, sans atteinte à la dignité de sa personne. Alors que Sophie Aram est maintenue en place. Curieux, non
Sophia a commis ce jour là un acte d'irresponsabilité, forcément prémédité, rédigé à la va-vite sous le coup de l'émotion et probablement inspiré par la haine du directeur Philippe Val envers le Front National. Un directeur bien connu pour son soutien indéfectible aux communautés issues de l'immigration, qui agit en permanence contre les Français de souche et qui a sélectionné ses animateurs et réorganisé l'ensemble des émissions de sa radio dans ce sens.
De par ses origines familiales, il est clair que la revendication de l'identité française a dû infliger des craintes profondes d'exclusion, sachant que cette revendication ne peut conduire à terme que vers un processus de séparation. Sa haine pour le Front National n'est pas feinte. D'autant que sa phobie est largement partagée par le directeur de cette radio, Philippe Val.
""France Inter a été assailli de messages (...) La direction de Radio France et la police m'ont conseillé de porter plainte, ce que j'ai fait. (...) En tournée, mes affiches ont commencé à être arrachées – elles le sont encore – et on a dû renforcer la sécurité" explique-t-elle dans une interview à Télérama.
Aujourd'hui elle tente de se défendre:"J'ai déjà eu l'occasion de m'en expliquer : je n'ai jamais traité les électeurs FN de gros cons ! J'ai dit que j'avais du mal à faire la différence entre une personne qui pense que tous ses problèmes sont liés à la présence d'immigrés en France, et des gros cons.". Mais alors elle aurait pu s'exprimer autrement. Car elle ment. Il suffit de revoir ou de ré-écouter sa chronique pour s'en rendre compte. Parce que elle a construit sa diatribe à partir des réflexions prononcés par un militant du Front national lors d'un reportage en prenant soin d'en isoler certains propos hors du contexte pour mieux les stigmatiser. Les Français qui ont écouté Sophia Aram ce jour-là n'ont pas interprété ses paroles de la même façon qu'elle le ressent et c'est pourquoi ils sont toujours ulcérés et en colère aujourd'hui, presque un an après les faits.
"Mon premier métier c'est d'être commédienne" déclare-t-elle à un journaliste du Dauphiné. " J'aime la scène et je m'y sens bien. Après c'est difficile de choisir entre les deux, car je prends du plaisir à écrire des chroniques à la radio"
Évidemment, la radio est un bon médium audio pour militer et défendre les causes des populations immigrées alors même que la cohabitation avec les habitants français indigènes s'avère de plus en plus compliquée.
D'autre part; Sophia Aram prétend assumer tout. Mais en même temps elle fait appel aux forces de l'ordre, financés en partie par ces "gros cons" qui la menacent. ces mêmes "gros cons" qui lui compliquent les déroulements de ses tournées en province, arrachent ses affiches ou les taguent.
Va-t-elle assumer longtemps encore ce qu'elle a dit?

Sophia Aram avec des ailes d'ange dans son spectacle sur les religions. Pour les électeurs "Gros Cons" du Front National, cette femme serait plutôt un succube comme ci-dessous.

Les fidèles auditeurs de France Inter connaissent bien Sophia Aram. Cela fait un certain temps que cette artiste participe occasionnellement comme humoriste dans l'ancienne émission de Stéphane Bern "le Fou du Roi". Ses chroniques y étaient très inégales et je ne les trouvais pas souvent drôles. En dehors d'un réel talent de comédienne, et d'une aptitude à se croire très drôle, Sophia Aram se distingue plutôt par une ironie grinçante et un humour ras des paquerettes. Mais c'est une question d'appréciation. Personnellement elle ne me faisait pas rire et lorsqu'elle participait à l'émission "Le fou du Roi", je finissais immanquablement par éteindre la radio, exécré par le militantisme de cette artiste issue de l'immigration. Sa spécialité c'est de se moquer de l'accent des jeunes filles ou des femmes des communautés nord-africaines. C'était assez bien imité. Mais en même temps on sentait que le projet de Sophia Aram était de participer à une meilleure intégration de ses compatriotes en ironisant avec tendresse sur leur élocution tout en expliquant leurs points de vue. Il y a constamment dans les textes de cette humoriste une arrière pensée de militantisme. A contrario ses chroniques ne contribuaient qu'à mettre l'accent les différences culturelles entre les populations immigrées et les Français de souche. En outre, certais auditeurs comme moi on pris conscience qu'il allait leur falloir cohabiter avec des populations qui leur ressemblent si peu.
Aujourd'hui beaucoup de Français se rendent comptent que l'assimilation indispensable des populations issues de l'immigration africaine à la Nation devient impossible non pas seulement par les différences culturelles, mais SURTOUT par le nombre, à cause d'une immigration non contrôlée. Les communautés sont devenues trop importantes et de ce fait ne pourront pas se dissoudre dans une nation homogène constituée pourtant de populations différentes comme le sont les bretons, les auvergnats, les normands, les ch'tis, les provençaux, les basques et les peuples venant d'autres pays européens.
Sauf que ces Français là, nationalistes et patriotes sont systématiquement stigmatisés par les forces cosmopolites auquelles appartient Philippe Val et brocardés par des artistes issus de l'immigration. Sophia Aram a poussé le bouchon jusqu'à insulter des Français qui ont reçu leur pays en héritage et sur lequel la famille Aram est venue s'installer impunément au nom du droit du sol pour fuir les misères économiques, technologiques et culturelles de leur pays d'origine.
En ce moment, hélas, les positions se radicalisent autour d'une ligne de démarcation qui sépare les Français nationalistes de Ceux favorables à l'immigration solidaires des forces cosmopolites. Une telle situation ne peu que dégénérer vers un processus de séparation et un point de basculement qu'est une guerre civile.
On voit bien à travers les messages d' insultes et de menaces que reçoit France Inter, dont le nombre ne tarit toujours pas malgré le temps qui s'écoule, que le climat social de la France s'approche d'une crise majeure. L'exaspération des auditeurs français de souche reste à son comble et un jour ou l'autre, Sophia Aram devra pendre une décision radicale: S'excuser ou quitter le territoire Français.
Sophia Aram n'est d'ailleurs pas la seule dans cette situation délicate. Un autre artiste, chanteur, Raphael, qui stigmatise gravement des Français dans une de ses chansons, subit la vindicte populaire. Lui aussi devra choisir: s'excuser ou partir.