Voilà un sujet important. Les réactions sont vives outre-rhin concernant ce responsable politique allemand, qui manifeste son inquiétude pour l'avenir de son pays dans un ouvrage "L'ALLEMAGNE COURT A SA PERTE". A l'instar de votre serviteur, lui même angoissé pour le destin du peuple français auquel il appartient, et ceci depuis longtemps. Pas étonnant donc si je consacre une page sur ce sujet d'actualité, ringardisé par les intellectuels français, et qui, en effet, concerne tous les état-membres de l'Europe. Ne voyons-nous pas monter doucement en puissance les partis d'extrême droite aux cours des récentes élections qui se sont déroulées dansun grand nombre de pays de la communauté.
Comme cet ouvrage " L'Allemagne court à sa perte" n'est pas disponible dans notre pays, cette page s'inspire beaucoup des informations glanées sur la toile et en particulier d'un article de Christain Geyer paru dans le
Courrier International
du 9 septembre 2010.
Ce qui compte, c'est avant tout de réfléchir, loin des tourmentes que génèrent les émotions et les ressentiments pour analyser calmement la situation. C'est un exercice de contrôle de soi que je m'applique soigneusement tant l'angoisse m'étreint concernant les dangers de l'immigration africaine. Voici donc un condensé de ce qui s'écrit sur le web.

Thilo SARRAZIN.
Il faut lui reconnaitre beaucoup de courage car la sociobiologie aurait pu être développée par les Nazis et détournée à leur profit pour justifier les horreurs qu'ils ont commises durant la deuxième guerre mondiale. De ce fait, cette discipline des sciences humaines a longtemps été rejetée par les intellectuels humanistes. Mais chassez le naturel, et il revient toujours au galop. Les différences ethniques sont beaucoup trop évidentes.
Selon le Courrier International,
Thilo Sarrazin bâtit sa thèse autour de considérations sociobilogiques: “Le problème n’est pas que les descendants des individus les plus cultivés soient de moins en moins nombreux", écrit Sarrazin. "Ce ne serait pas si grave si tous les hommes étaient dotés des mêmes capacités. La culture serait alors une simple question d’éducation. Le problème est que le degré de culture et l’intelligence héréditaire sont liés. Au fil du temps, il est donc néfaste pour le potentiel intellectuel d’une population qu’une catégorie d’individus intellectuellement supérieurs ait une fécondité inférieure à la moyenne et qu’une catégorie d’individus intellectuellement inférieurs ait une fécondité supérieure à la moyenne.”
Dans son livre, Thilo Sarrazin développe en détail et sur un ton clairement antimusulman ses hypothèses sociobiologiques sur les fondements génétiques de l’intelligence. Partant du taux de fécondité plus élevé des familles musulmanes, l’auteur prend la sociobiologie comme science de référence, comme “fondement des processus de sélection naturelle dans l’évolution de l’homme : les individus les plus aptes à survivre et à se reproduire sont ceux dont le patrimoine génétique tend à devenir prépondérant. Les chances de survie étant les mêmes pour tout le monde dans notre société moderne, c’est le patrimoine génétique de ceux qui se reproduisent le plus qui l’emporte.” Face aux lois de la nature, la politique a perdu la partie. Ce sont surtout les théories égalitaires qui ont perdu la partie. De même que les espoirs d'intégration. De même que le dogme que les mixités culturelles sont une chance pour l'évolution des humains.
Pour Sarrazin, si préoccupé par la qualité génétique de l’ensemble de la société, il n’y a d’autre issue que de mettre un terme à l’immigration de ces familles musulmanes si promptes à procréer. “La seule mesure sensée consiste à stopper l’immigration en provenance du Proche- et du Moyen-Orient, ainsi que d’Afrique. Ce qui signifie lutter énergiquement contre la pression migratoire, déjà forte et qui ne va cesser d’augmenter à l’avenir.”
Outre la génétique, Sarrazin avance un autre argument fort contre les musulmans : l’argent. “D’un point de vue économique, nous n’avons pas besoin de l’immigration musulmane en Europe.” Sarrazin parle avec le tranchant du spécialiste éclairé, sous des dehors de “nouvelle objectivité” : “direct et sans fioritures”, seul contre des régiments de “libéraux bardés de bons sentiments”.
Évidemment, les libéraux, qui aiment le profit, ne recherchent, sous le couvert de propos humanistes, que les gros profits générés par l'immigrations de salariés bon marché. Si en effet, comme le clame Hüsnü Özkanli, président de la Fédération patronale germano-turque, pointant la thématique génétique : “Nous contribuons à l’économie allemande, nous créons des emplois, nos enfants vont à l’école. Que devons-nous faire de plus pour manifester notre désir d’intégration ? Nous teindre en blond ?”, les turcs ne participent pas à l'enrichissment du peuple allemand, ni par les idées à cause d'une religion rétrograde, ni économiquement, car les salaires sont tirés vers le bas dans les emplois les moins qualifiés. L'immigration turque en Allemagne ne profite qu'aux classes possédantes.
C'est lorsqu'il était responsable de l'assainissement budgétaire de la capitale allemande en 2008 que Thilo Sarrazin a pris conscience du coût social de l'immigration. A l'époque, Sarrazin ne faisiant pas dans la dentèle en déclarant que les chômeurs étaient trop gros avant de faire ses excuses. Les chiffres, eux, sont révélateurs et c'est pourquoi les bilans sont souvent cachés. En France il n'existe pas de recensement ethnique et il y a forcément une raison à cela.
lu dans le POST, je cite:
les réflexions sur une politique d’immigration contrôlée deviennent superflues en ce qui concerne les musulmans. Sarrazin les a déjà éliminées pour des raisons génétiques, avant même qu’elles n’aient été véritablement menées. Qu’avait-il dit à l’automne dernier dans son entretien à la revue Lettre International [voir CI n° 992, du 5 novembre 2009] ? "Les Arabes et les Turcs, qui ne remplissent aucune fonction productive, hormis le commerce des fruits et légumes, quand ils ne vivent pas de l’allocation chômage ou des aides sociales, devraient “disparaître”. Dans le contexte du livre, “disparaître” s’entend comme la solution biologique aux problèmes d’intégration. Le lecteur comprendra de lui-même : les musulmans ne sont capables de s’intégrer dans notre pays que dans la mesure où leur population.
Influences des associations juives:
Lu dans le post, je cite:
"Naturellement, Thilo Sarrazin est condamné par la presse et la classe politique allemande, ainsi que les associations de défense des étrangers et le conseil central des juifs d'Allemagne. Le parti social démocrate vient de mettre en place une procédure d'expulsion pour extirper de ses rangs cet encombrant membre. Angela Merkel s'est autorisée à une remarque directe, en estimant que la Banque centrale allemande ne manquerait pas de se saisir du dossier : une façon détournée de suggérer fortement à la Bundesbank de sanctionner ce membre de son directoire qui obscurcit l’image de l'institution. La banque a réagi, en votant à l’unanimité le départ de Sarrazin.
Mais le souci, c'est que le livre rencontre un énorme succès.... La première édition du livre, 25 000 exemplaires, est épuisée. Deux autres éditions en cours de réimpression sont déjà réservées à la vente. Et l'éditeur lance une troisième impression de 80 000 livres. Le SPD a reçu de sa base énormément de courriers protestant contre l’exclusion prévue du social-démocrate Thilo Sarrazin. Même les sièges des partis politiques sont inondés de courriers pro-Sarrazin : comme le dit Peter Hauk, chef du groupe parlementaire chrétien-démocrate (CDU) du Bade-Wurtemberg, « 9 électeurs sur 10 que je croise le soutiennent ». Et le Bild lance une pétition en ligne pour le « droit constitutionnel à la liberté de parole ».
Alors ?
Ce n'est donc pas en France que ce livre sera traduit tant l'influence du CRIF est oppressante dans notre pays.

Le CRIF devrait faire attention à ne pas devenir l'allié objectif des communautés musulmanes de France
Voici ce qu'écrit Guy Millière sur DRZZ.Info
Ce qui me semble devoir être souligné, d’abord, est qu’on prête à Thilo Sarrazin des propos antisémites : c’est là une allégation sans fondement.
Thilo Sarrazin parle de traits génétiques communs à tous les membres du peuple juif. Il ne fait que reprendre là des analyses menées par des chercheurs juifs eux-mêmes, ces dernières années, et très largement commentées aux Etats-Unis, particulièrement dans la presse juive (cf. par exemple « Jewish Genes », sur le site de l’Aish Ha Torah : aish.com) : le très lourd passé antisémite de l’Europe fait peser un tabou sur des recherches pourtant fondées, et aboutit à un aveuglement qui conduit aux pires dérives, celles qui ont pu mener à accorder, par exemple, une publicité nauséabonde à l’ouvrage de Shlomo Sand, « Comment le peuple juif fut inventé », qui est à mes yeux un ouvrage négationniste.
Ce que montrent les analyses dont je parle, et que cite Thilo Sarrazin, c’est que les membres du peuple juif ont des origines communes : elles ne sont que la confirmation de l’histoire du peuple juif. Et seuls les antisémites peuvent trouver problématique l’affirmation que le peuple juif a des origines communes.
Thilo Sarrazin note, par ailleurs, que le peuple juif n’a cessé de montrer des capacités d’intelligence et de créativité supérieures à la moyenne, ce qui est rigoureusement exact.
Pour des gens qui ont l’amour de la réussite, il n’y a là que motif à se réjouir. Pour des gens envieux et ressentimentaux, il peut y avoir motif à jalousie et à détestation. Je pense qu’une part importante de l’antisémitisme vient de l’envie et du ressentiment. Et je pense qu’on ne combat pas l’envie et le ressentiment en niant la réalité, mais en combattant frontalement envie et ressentiment, et en faisant preuve de vigilance à leur sujet.
Il n’y a ni envie ni ressentiment chez Thilo Sarrazin. Il y a, au contraire, un amour de la réussite.
Les considérations sur le peuple juif, cela dit, ne sont qu’épiphénoménales dans le livre de Thilo Sarrazin. Ce qu’on lui reproche est ailleurs.
Ce qui semble intéressant et, selon moi, rend légitime les inquiétudes des associations juives, c'est que Sarrazin cerne les différences dans les qualités intellectuelles ethniques, négatives chez les arabes et positives chez les juifs, flirte avec le racisme. Des qualités juives qui les différencient des autres populations autochtones et les mettent donc en exergue. La sociobiologie pourrait bien à terme se transformer en ethnosociologie qui encouragerait les théories raciste. François MITERRAND n'a-t-il pas salué ce peuple juif "talentueux et dominateur".
Il n'en reste pas moins vrai que les juifs n'ont aucun intérêt à défendre les musulmans contre le rejet que ressentent de plus en plus les occidentaux. Un rejet qui prend plus racine sur la démographie de masse (le nombre) et l'esprit communautaire que sur les différences culurelles.
Il faut désormais admettre que les communautés juives sont bien distinctes des peuples goïs parmi lesquels elles vivent. Communautés qui ont été facilement acceptées grâce à leurs talents dans les arts et les sciences (au contraire de leurs talents en économie ) et surtout grâce leur discrétion démographique.
Mais il ne faudrait pas qu'aux yeux des occidentaux les juifs deviennent des alliés objectifs de la non-intégration des musulmans dans des pays de traditions laïques. Sous peine d'intégrer le rejet qui monte en Europe contre des populations de cultures et de moeurs trop différents.
En France.
Notre littérature ne manque pourtant pas d'ouvrages sur les dangers que représente l'islam dans notre pays, mais aucun auteur n'appuie leur thèse sur la science sociobiologique. Les lois Gayssot interdisent en France toute réflexion objective sur ce théme des différences sociobiologiques.
De surcroît, pour les sociologues français, revendiquer son "identité nationale" procède du repli populiste de la pensée. C'est dire que le fossé se creuse entre les ressentis des citoyens de bas confrontés dans leur vie quotidienne à la cohabitaion et surtout à partager leur territoire avec des immigrés qui ne s'identifient pas à leur culture laïque et les dogmes des intellectuels. Comme si la tolérance envers une religion cruelle comme l'islam pouvait s'assimiler à un progrès des mentalités.
C'est pourquoi, Thilo Sarrazin développe un constat qui va faire son chemin dans les esprits. De la même façon qu'il y a un déterminisme chez tous individus (nous ne naissons pas tous avec les mêmes dons et talents), il existe un déterminisme pour les peuples. L'intelligence, les mentalités, les traits de caractère sont bien à l'origine des développements des cultures et non le contraire.
APOCALYPSE SOCIALE
Les temps apocalyptiques se profilent fortement à l'horizon. Saurons nous nous y préparer comme nous l'invite Thilo Sarrazin?
Rien n'est moins sûr!