LES CHANTEURS ANTI FRANÇAIS
Aujourd'hui RAPHAEL  "Mais la France parfois ca m’déprime" Rien n'oblige ce chanteur à rester dans ce pays. Il a tout loisir d'aller vivre dans un pays qui ne le déprime pas. Surtout, que ne descendant pas d'une lignée qui a construit la France tout au long de son Histoire, ses critiques sont malvenues.
Nous les français d'origine on fait ce qu'on peut. Il n'y a pas de quoi se glorifier d'être français. Mais il n'y a pas de quoi avoir honte, non plus. Le Peuple français a marqué l'Histoire, a participé grandement à l'évolution des esprits et à l'émancipation des consciences individuelles. Pourtant le rédacteur de ce texte est souvent le premier critique envers ce peuple gaulois, de nos jours vautré dans la mollesse de ce qui reste de son ancienne prospérité et des 35 heures avec ses RTT si préjudiciables à la notion de l'effort et du combat. Mais s'il émet ces critiques, c'est qu'il se sent légitime pour le faire parce que ses ancêtres ont largement contribué à la construction de ce pays qu'ils lui laissé en héritage et dont il souhaite lui redonner toute sa souveraineté. C'est pourquoi le rédacteur de ce site serait le premier à s'engager pour défendre son pays et sa culture laïque. Voilà qui explique sa réaction épidermique face à une chanson qui fustige le sentiment national.
La France est aujourd'hui confrontée à une immigration massive, avec des naturalisations attribuées abusivement au nom du droit du sol par une administration inconsciente des dangers culturels et surtout obéissant à des politiciens corrompus par l'oligarchie financière internationale qui ne voyait dans ces naturalisations illégitimes que de nouvelles occasions de s'enrichir.
Ce Pays qui a inventé la démocratie, ces français qui ont longtemps combattu pour leur souveraineté territoriale, n'ont pas été assez vigilants sur les méfaits du politiquement correct, préférant prendre des congés et des vacances plutôt que de réfléchir à toute conscience politique, laissant la démocratie la bride sur le cou à des politiciens, il faut le rappeler, vendus à la cause ultralibérale exprimant leurs reconnaissances envers les lobbies financiers qui ont largement financé leurs campagnes électorales, si bien qu'ils en ont perdu leurs âmes. L'infiltration par l'intelligentsia et les milieux artistiques par cette élite financière internationale cosmopolite a eu pour résultat d'imposer la vision politiquement correcte des droits de l'homme rédigés au détriment des grands groupes et communautés que sont les États Nations en ringardisant l'importance de l'identité nationale comme principe fondamental fédérateur.
Le chanteur Raphael est donc un enfant élevé dans le culte du politiquement correct. Il se fait passer pour un humaniste alors qu'en fait il n'est que l'instrument agissant de l'EFIC pour destructurer la cohésion sociale des français qui tentent de serassembler autour d'une identité nationale bien spécifique.
Mais en fait Raphael est déprimé parce qu'il sent son avenir en danger à plus ou moins long terme. Parce que justement nés de parents étrangers.
Cette crise identitaire du peuple français n'exprime qu'une crainte que ressentent de plus en plus les citoyens de souche face aux pressions culturelles d'individus récemment arrives sur leur territoire et qui revendiquent leurs appartenance communautaires différentes pour mieux imposer leur façon de vivre. Le phénomène s'amplifie, ce qui indispose considérablement les associations d'immigrés qui se sentent, à juste titre, menacés d'être considérés comme des perturbateurs ou de chercher dans un futur proche la suprématie démographique....comme au Kosovo.
Il en est souvent question dans ce site, lorsqu'un peuple sent que sa souveraineté est remise en cause, il faut craindre l'instabilité sociale qui en découle et qui n'est jamais maitrisable. C'est ce qui favorise l'émergence des partis nationalistes extrêmiste.
Devant l'afflux d'immigrés africains , noirs et musulmans, les français commencent à ressentir une exaspération qui gagne peu à peu toute les classes sociales en dehors des élites parisiennes et des miliux culturels audiovisuels. Ce phénomène gagne également les militants politiques des partis même ceux appartenant aux forces dites de progrès. C'est parmi les militants des partis de gauche que ce phénomène de rejet est le plus visible. Du moins en privé et dans le secretdel eurrs bulletins de vote dans les urnes. Au delà des discours officiels des partis, les électeurs se retournent vers le seul parti nationaliste. Toutes les maifestations comme le RAP ou des chansons comme celle de Raphael intitulée "Le patriote" n'ont pour effet que de cristalliser la rancoeur des français de souche.
 A cause d'une seule chanson, cet album est un bel exemple d'ingratitude et prouve que les français n'ont rien à attendre des étrangers qui viennent s'installer chez eux.
Remettre en cause la légitimité de la réaction des français face à une problématique d'assimilation culturelle liée à une immigration non contrôlée et maintenant devenus très sensibles à leur identité nationale est donc un exercice dont il faut s'abstenir. Si on est citoyen de souche on risque de passer pour traître. Si la nationalité française est obtenue au nom du droit du sol, né de parents étrangers, la décence est requise et de ce fait reporcher aux français le retour aunationalisme procède carrément du suicide.
C'est le cas du chanteur Raphael dans une chanson de son dernier album, "Pacific 231" (nom d'une locomotive à vapeur des années 50).
Raphael Haroche, né le 7 novembre 1975 à Boulogne-Billancourt, d'une mère argentine et d'un père d'origine russo-marocaine, est un chanteur français connu sous le pseudonyme de Raphael.
Cette chanson de Raphael va produire un contre-effet pour sa réputation. Désormais les français considéreront ce chanteur comme un antipatriote qui les a stigmatisé et les les a ridiculisé.
Voici les paroles de cette chanson qui ne laissera pas les français indiférents, même si l'interprétation reste assez fade et la mélodie insignifiante.
Si j’étais moins intelligent
Si j’avais pas ma carte de lâche
J’leur foutrais mon pied dans les dents
J’leur faciliterais pas la tâche
En première page des magazines
Ils sont partout dégueulants
Leurs réformes et leur grippe porcine
Le bon peuple et son président
Mais la France parfois ca m’déprime
et les français sont désolants
Tous des camés, des pédophiles
C'est ce qu'ils pensent ces pauvres tarés
Si tu rentres pas dans la file
Tu finis bien vite aux arrêts
Et dès qu'il y en a un qui tombe
Ils se ramènent tous regrettant
Ils vont tous chialer sur sa tombe
La Légion d'honneur c'est pour quand ?
Et les français sont désolants,
et la France parfois ça m’déprime
Le conformisme des enfants
Qui peuvent pas aligner deux phrases
Et le courage de leur parents
Devant le monde qui s’embrase
Les étrangers, ça va dans des camps
On va quand même pas sauver le monde
Et mes Santiago dans tes dents
C'est toujours mieux que d'te répondre
Avec mes amitiés viriles
Et c'est sûr, la France, ça me déprime
Il faut chanter la marseillaise
Et avé’ la main sur le cœur
Moi je la siffle avec les beurs
Prie pour qu’au foot on soit de la baise
L'ordre moral est bien partout
La démago de gauche à droite
J'aime mieux attendre qu'ils soient bien saouls
Avant de me battre
Et les Français sont désolants, Et le débat est captivant
Ca parle encore dans les cafés
Ca parle toujours dans les journaux
C'est toujours nous qu'on va payer
Tous des pourris, tous au poteau
Que les meilleurs partent en premier
Restent donc que les bons connards
Ca fait longtemps que je l'avais noté
Planqué derrière mes lunettes noires
J'ai comme une idée qu'il faut que j'te dise
Cette France, hé bien moi, j’la méprise
Et les chanteurs avec quota
Et la déprime de la radio
Que je la coupe même quand c’est moi
On devrait revenir au mono
Mon pote Renaud tu nous manques tant putain
Réveille toi car la France
C’est devenu salement déprimant
Depuis qu’t’es parti en vacances
Depuis qu’t’es parti en vacances
reçu le 15 octobre 2011
Lettre ouverte à monsieur Raphaël Haroche
Vous vous êtes permis récemment de commettre une chanson, « Le patriote ». Le message que vous y donnez est clair : vous méprisez la France, vous méprisez les Français. En voici quelques extraits éloquents :
Pour mettre en valeur ces paroles hautement patriotiques, vous avez organisé une lamentable mise en scène, en enfourchant la statue de Jeanne d’Arc (place des Pyramides) et en chuchotant, à l’oreille de ce symbole de la France, combien vous méprisiez ce pays.
Si vous n’êtes pas content de la France, la porte est ouverte. Grande ouverte. Nous n’avons que faire de rebellocrates qui croient monter des barricades quand ils se contentent de gravir prudemment une échelle sous l’œil complice d’une caméra. Et sachez que si vous vous permettez encore une fois de peloter aussi bêtement une statue de Jeanne d’Arc, il y aura sans doute quelques bons Français pour vous rappeler un peu vigoureusement, avec des méthodes de l’époque, ce que fut cette bergère de quinze ans pour des milliers de Français désespérés. Ce n’est pas parce que vous avez beaucoup d’argent, une petite gueule d’amour de Rimbaud en mal de talent, et l’admiration des bobos des rives gauche – et droite, que vous pouvez vous permettre de donner des leçons aux Français. Ces Français que vous jugez « désolants », bramez-vous. Certes, quand ils tolèrent qu’un adolescent attardé de 35 ans leur donne des leçons de vie.
Votre chanson et son clip offensent les millions de personnes qui sont mortes pour la France ; vous marchez sur un sol trempé de larmes et de sang, un sol qui a pu garder son nom et son âme grâce à des hommes et des femmes qui se sont sacrifiés pour que vous ayez un jour la possibilité de vivre libre dans ce pays sur lequel vous crachez aujourd’hui
La Française que je suis vous prie de vous cantonner à des débats à la hauteur de vos capacités. Battez-vous contre le réchauffement climatique, pour la béatification de Karl Lagerfeld, ou pour la culture du boulgour bio, mais ne vous mêlez pas de la France. Elle n’a que faire d’un « planqué derrière ses lunettes noires » (comme vous le dites si bien) qui vit très confortablement dans le XVIIème, n’a jamais eu peur de se faire tabasser dans le métro, et ne sait pas ce que c’est que de vivre à proximité d’un camp de Roms. Car vous ne vivez pas dans la réalité, vous l’ignorez absolument. Papa-maman avocats, enfance à Boulogne, scolarité à Henri IV, épouse qui, pendant que vous caracoliez sur la statue de Jeanne d’Arc, assistait à la Fashion Week : on ne peut pas franchement dire que vous êtes des damnés de la terre.
« Les étrangers, ça va dans des camps / On va quand même pas sauver le monde. » dites-vous avec ironie. Eh bien, si vous trouvez cela tellement révoltant, pourquoi n’en accueillez-vous pas quelques dizaines chez vous ? Avec vos moyens financiers, ce doit être possible. Et nous serions tous ravis de voir ce que donnerait cette confrontation de vos idéaux droitdel’hommistes avec la réalité.
Car la réalité, monsieur, c’est que les Français n’en peuvent plus. Et si le gouvernement a décidé de faire une opération de communication en expulsant quelques Roms, c’est précisément parce qu’il sent la révolte d’un peuple qui n’en peut plus de vivre, jour après jour, la communautarisation de son pays. Voilà sans doute des mots que vous ne connaissez pas. Je vous invite donc à aller vous promener du côté des Mureaux ou de la Courneuve : ce seront des travaux pratiques très instructifs, je n’en doute pas.
Vous verrez alors ce que pensent réellement ces Beurs dont vous parlez, et avec lesquels vous rêvez de siffler la Marseillaise. Vous allez connaître le sens des mots « bolosser » et « face de Craie ». Et j’ose espérer que vous mesurerez alors le courage de ceux qui osent se dresser contre cette inadmissible violence antifrançaise et antiblanche qui gangrène notre pays.
Car les gens de courage ce ne sont pas Zazie, Judith Godrèche, Christophe Willem et vous-même : vous vous indignez très confortablement, derrière des micros ou sur des plateaux TV, vous vous battez contre des moulins à vent, et avez l’impression qu’en défendant l’antiracisme ou le maintien des Roms en France, vous êtes dans l’irrévérence, alors que ce gouvernement que vous critiquez donne depuis des années des millions d’euros à des associations qui pourfendent les mêmes méchants que ceux que vous désignez d’un doigt lisse bordé de cachemire.
Votre chanson sue le mépris. Mépris pour le peuple, mépris pour ses inquiétudes, mépris pour ses souffrances. Mépris pour les symboles d’un pays qui ne doit pas être si atroce que cela, puisque tant de gens veulent y rentrer et y rester.
Quel sera le prochain acte de bravoure et de folie artistique du mutin de Panurge (merci Philippe Muray pour cette belle invention) que vous êtes, Monsieur ? Déféquer devant le Panthéon ?
En vous posant en pseudo résistant, vous vous inscrivez au contraire parfaitement dans l’histoire des collabos et des traîtres qui ont sali notre pays. Vous êtes de ceux qui, depuis plus de trente ans, forcent les Français à se battre la coulpe en permanence, à rougir de leurs valeurs et de leur histoire, à cracher sur tout ce qui est digne et respectable dans un des rares pays où on ne vous colle pas au gnouf pour des propos comme les vôtres.
J’ai 25 ans, Monsieur, je suis française, et fière, quoi qu’il arrive, de mon pays. Aucune nation, jamais, n’est parfaite. Mais j’ai la chance de faire partie d’une grande et belle histoire, j’ai derrière moi des siècles d’héroïsme et de grandeur. J’essaie d’en être digne, tant bien que mal. Alors quand je vois un si petit freluquet s’estampiller bouffon d’une cour et d’un système qui lui rapportent tant d’argent et de médiatisation, je ne peux que me dresser, du haut de ma jeunesse, et vous rappeler à l’ordre.
Au nom de cet hymne que vous raillez, de cette Jeanne d’Arc dont vous vous servez, veuillez, Monsieur Haroche, avoir un peu d’humilité, d’intelligence, et de décence. Vous n’êtes pas Guy Môquet ni Emile Zola. Mais un petit Parisien conformiste dont le plus grand acte de bravoure de sa vie aura sans nul doute été de monter une échelle, place des Pyramides, sans un harnais de sécurité.
Myriam Picard
Quel gâchis !
Va-t-en Raphael !
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