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La démocratie ne fonctionne que si tout va bien dans le pays où elle s'exerce. LE NÉO-
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![]() ![]() ![]() Islamisation et déclin de la FRANCE ![]() ![]() L'Europe a atteint un sommet unique de paix et de prospérité et, simultanément, un degré inégalé d'incapacité à subsister. Un démographe, Wolfgang Lutz, relève qu'«il ne s'est jamais produit d'inertie démographique négative à grande échelle dans l'histoire de l'humanité jusqu'à présent». Est-il inévitable que la société la plus brillante soit également la première à risquer de s'effondrer par manque d'aplomb culturel et de progéniture? Ironiquement, le fait de créer un endroit extrêmement agréable à vivre semble constituer aussi une recette de suicide. La Comédie humaine se poursuit. |
Les mauvaises raisons d'une mort volontaire
Là où a émigré le corps quantique immortel de Dominique Venner, là où demeure son âme, celle-ci doit être rongée par le remords. Le suicide volontaire est parfois un acte égoïste d'une lâcheté inouie quand il laisse derrière lui, comme Venner le clame sur son blog, une femme qui l'aime, des enfants et arrières petits enfants éplorés, toutes ces personnes ayant du mal à comprendre ce geste stupide. Un geste dont les retombées sociétales sur les vivants seront quasiment nulles, inspirant au mieux une émotion passagère.
Mais la raison qui me fait personellement exploser de colère, puisque Diminque Venner et moi étions du même bord, c'est que ce suicide correspond au renoncement d'un combattant de l'esprit dépositaire d'une arme redoutable, aux munitions inépuisables et peu onéreuses: le talent d'écrivain. Une arme qui ne participera plus au combat pour la survie de nos sociétés traditionnelle, voire en définitive, de la pérenité de la race blanche elle même. Un talent d'écrivain qui ne s'opposera plus à la dégénérescence de la société à laquelle Dominique Venner et nous tous appartenons.
Je suis d'autant plus choqué par l'abandon de poste de cet écrivain majeur (c'est du moins le qualificatif qu'emploient ses anciens amis) que, en tant que webmaster, je lutte avec acharnement à tenter de développer une certaine capacité personnelle à l'écriture, absente originellement de mon déterminisme personnel pour transcrire les idées originale de notre groupe. A l'aune de mon expérience de vie je mesure combien disposer de ce talent d'écrivain est indispensable quand on a l'ambition de faire bouger les choses, de développer des arguments et des perspectives nouvelles de tirer des leçons du erreurs du passé.
Dans ce monde où nos âmes se sont incarnées, le suicide n'est jamais la solution car une partie de nous est immortelle. De ce fait les humains emportent dans des l'au-delà l'état d'esprit qu'ils ont au moment de mourir. Si les êtres sont en paix avec leurs consciences, la vie dans l'au-delà les emmène vers d'autres cycles de de réincarnations plus évolués. Si ces âmes sont rongées par le remords, la période de transition est horrible, car il n'est plus possible de réaliser les réparations des injustices ou des dégâts dont ils sont responsables. Il ne reste plus, pour être complet, qu'à évoquer les suicides qui ont pour but d'épargner une fin de vie atroce promise par une maladie incurable. Ce suicide là peut se comprendre.
J'écris ce préambule parce qu'il m'arrive effectivement assez souvent d'avoir envie de quitter ce monde et surtout de sortir de ces sociétés occidentales dénuées aujourd'hui de raison, de me libérer d'un pays où les citoyens sont devenus des esclaves des banques, des politiciens, de leur mollesse, de leurs émotions, de leur individualisme. Et si je ne le fais, c'est certainement c'est certainement par la peur de mourir, mais en même temps, tant qu'il me restera un soufle suffisant, je continuerai à apporter ma petite pierre personnelle à la construction, à l'évolution du pays dans lequel je me suis incarné.
Le webmaster.
«Les raisons d’une mort volontaire», par Dominique Venner
Dominique Venner:
« Je suis sain de corps et d’esprit, et suis comblé d’amour par ma femme et mes enfants. J’aime la vie et n’attend rien au-delà, sinon la perpétuation de ma race et de mon esprit. Pourtant, au soir de cette vie, devant des périls immenses pour ma patrie française et européenne, je me sens le devoir d’agir tant que j’en ai encore la force. Je crois nécessaire de me sacrifier pour rompre la léthargie qui nous accable. J’offre ce qui me reste de vie dans une intention de protestation et de fondation. Je choisis un lieu hautement symbolique, la cathédrale Notre Dame de Paris que je respecte et admire, elle qui fut édifiée par le génie de mes aïeux sur des lieux de cultes plus anciens, rappelant nos origines immémoriales.Alors que tant d’hommes se font les esclaves de leur vie, mon geste incarne une éthique de la volonté. Je me donne la mort afin de réveiller les consciences assoupies. Je m’insurge contre la fatalité. Je m’insurge contre les poisons de l’âme et contre les désirs individuels envahissants qui détruisent nos ancrages identitaires et notamment la famille, socle intime de notre civilisation multimillénaire. Alors que je défends l’identité de tous les peuples chez eux, je m’insurge aussi contre le crime visant au remplacement de nos populations.
Le discours dominant ne pouvant sortir de ses ambiguïtés toxiques, il appartient aux Européens d’en tirer les conséquences. À défaut de posséder une religion identitaire à laquelle nous amarrer, nous avons en partage depuis Homère une mémoire propre, dépôt de toutes les valeurs sur lesquelles refonder notre future renaissance en rupture avec la métaphysique de l’illimité, source néfaste de toutes les dérives modernes.
Je demande pardon par avance à tous ceux que ma mort fera souffrir, et d’abord à ma femme, à mes enfants et petits-enfants, ainsi qu’à mes amis et fidèles. Mais, une fois estompé le choc de la douleur, je ne doute pas que les uns et les autres comprendront le sens de mon geste et transcenderont leur peine en fierté. Je souhaite que ceux-là se concertent pour durer. Ils trouveront dans mes écrits récents la préfiguration et l’explication de mon geste.
*Pour toute information, ont peut s’adresser à mon éditeur, Pierre-Guillaume de Roux. Il n’était pas informé de ma décision, mais me connaît de longue date. »