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Une grande claque dans la figure 22 novembre 2012
C'est ce que vient de vivre la France en direct, infligée par l'agence Moody's, un des cerbères du libéralisme que sont les agences de notation financière.
Valérie Giscard d'Estaing, le politicien français le plus économiquement nuisible de la Vème république est le véritable auteur de la gifle qu'a reçu peuple français avec la perte d son triple A financier.
Il est à parier que l'Histoire ne sera pas tendre avec cet ancien président, véritable rouage du coup d'état perpétré par la banque Rotschild sur la réoublique françaisePour des citoyens ordinaires comme nous, cela représente une humiliation cuisante.
Mais peut-être que nous ne sommes pas des citoyens ordinaires, trop à cheval sur l'honneur. Parce que nous n'avons remarqué nulle part, ni parmi les experts en économie, pourtant souvent lucides sur la fragilité économique du pays, ni parmi les membres du gouvernement, ni parmi les intellectuels quelqu'un s'indigner qu'une telle sanction puisse arriver à la France.
Et nous nous posons cette question: Qu'arrive-t-il à la France? Comment interpréter ce manque de réaction face à cette infâmie?
Bien-sûr cette dégradation de la note financière de la France était inévitable, logique mais de là à se comporter comme si elle ne présentait aucune gravité est une attitude étonnante que seuls des imbéciles savent tenir.
On exagère?
Pas tant que ça.
Pierre MOscovici n'est pas plus incompétent que ses prédécesseurs. Mais il ne se démarque pas des autres politiciens du Système par sa pertinence personnelle.C'est normal, car l'incompétence des Français dans le commerce est mondialement reconnu. Chez nous, on sait produire, on ne sait pas vendre.
Sachez-le, nous sommes pour le commerce international ce que les Shadocks sont pour la bande dessinée.
La France marche sur la tête. Nous le savons et chaque jour qui passe apporte un élément supplémentaire qui conforte notre analyse.
Il y a longtemps que nous avions signalé aux quelques rares internautes qui nous rendent visite que la France est depuis longtemps un pays à risque financier, non pas tant à cause de sa dette publique, colossale, phénoménale, mais parce que sa balance commerciale atteint des niveaux critiques de négativité qui ne laissent plus d'espoirs qu'un redressement économique puisse se produire à court du fait que les produits industriels français souffrent globalement d'un grave déficit de réputation mais surtout, parce que les politiciens au pouvoirs depuis trente ans n'ont pas détecté à temps que les privatisations idéologiques (dans des conditions discutables) des entreprises publiques ont conduit à des délocalisations lesquelles ont détruit pour longtemps le secteur industriel français de transformation des matières premières et de produits manufacturés.
Pour aggraver la situation il faut noter que les niveaux des investissements privés comme publics dans la recherche et l'innovation indutrielles n'ont jamais été aussi bas. Ce qui interdit toute perspective de redressement relativement rapide et durable des exportations françaises.
Enfin, pour couronner le tout, la récession de l'économie mondiale, selon nous irrémédiable car structurelle (à moins de coloniser la planète Mars, et encore il manquerait de la matière première) interdit une relance de la consommation.
C'est à cause de tous ces facteurs que la France ne peut plus désormais éviter la banqueroute, le défaut de paiement. Les créanciers vont de plus en plus se faire tirer l'oreille pour prêter l'argent dont la France a impérativement besoin pour boucler les fins de mois de son administration. Le déficit chronique des finances publiques, voilà un autre facteur d'aggravation de notre situation économique. les taux d'intérêt vont grimper et la dette publique s'alourdir. La spirale infernale est entamée. Le défaut de paiement de l'État n'est plus loin.
La France, rouage important de l'Europe.
C'est par respect pour son passé, pour son rôle éminent dans la construction de la communauté européenne que l'agence de notation Moody's s'est contentée d'une dégradation modérée de sa note envers la France. La note financière de la France devrait être en réalité en dessous de celle de l'Espagne, de l'Italie et vraisemblablement du même niveau de celle de la Grèce.
C'est pour sauver la zone euro qu'il ne faut pas aggraver la réputation financière d'un pays partenaire de la BCE comme la France. Alors Moody's a activé la pédale douce.
Selon nos informations, l'agence Moody's garde dans son collimateur la fameuse BCE et menace de déclasser sa note. Une trop grande méfiance quant à la capacité de rembourser sa dette publique par un des pays membres aussi influent que la France induirait un doute sérieux des investisseurs sur la capacité de la Banque Centrale Européenne à rembourser ses emprunts virtuels qu'elle se crée en faisant tourner la planche à billets si un pays garant faisait défaut.
La fanfaronnerie du gouvernement.
Voilà une des raisons qui permettent au ministre des Finances Français, Pierre Moscovici, de fanfaronner, de clamer qu'en fin de compte tout va bien et de faire la comparaison de la nouvelle note financière avec la note scolaire en clamant que finalement le fait de passer de 20/20 à 17/20 n'est pas si grave.
Bravo pour la brillante démonstration rhétorique. Il est certain que les intérêts du peuple français sont défendus avec vigueur avec un tel raisonnement de la part d'un ministre de la république. La France est maintenu en sursis financier gâce à position dans l'Europe, il n'existe aucun élément économique qui pemettrait un début d'optimisme, mais le gouvernement continue sa route, s'accroche à la méthode Coué comme un polype s'accroche à sa proie.
Les 60 engagement de François Hollande, à l'origine irréalistes, ne s'appuyant sur aucun élément économique tangible, auraient dû inciter les électeurs français à plus de pudence, à plus d'exigence dans les débats publics. Il n'en a rien été et donc le pays se trouve aujourd'hui avec à sa tête un gouvernement incompétent, qui ne prendra jamais la seule mesure capable de sortir la France de l'ornière qui est : négocier avec l'Europe l'abrogation de l'article 123 du traité de Lisbonne qui intègre l’article 25 de la loi n°73-7 du 3 janvier 1973 (communément appelée Loi Pompidou-Giscard-Rothschild) interdit à l’Etat d’emprunter directement auprès de la Banque de France (Banque centrale publique française).
La France, bombe à retardement au coeur de l'Europe
Selon John Peet, rédacteur en chef de The Ecomist, dans un article paru sur le site TF1 news: "D'abord, la France a de grands problèmes économiques. Pas équivalents à ceux de la Grèce, de l'Espagne, du Portugal, de l'Italie, mais plus graves que ceux de l'Allemagne. La France est entre le groupe méditerranéen et un groupe "créditeur". Dans les autres pays de l'euro, beaucoup d'efforts sont faits pour sortir de la crise : on coupe les dépenses publiques, on réduit les taxes... En Italie et en Espagne, on a eu des réformes du marché du travail. La France parle de réformes, les autres pays les font ! Enfin, la France est un pays-clé pour la zone euro, une zone qui pourrait survivre sans la Grèce ou même l'Espagne mais pas sans elle. C'est pour ça que la France est une bombe à retardement pour l'euro. "
Il est à noter que Pierre Moscovici a commenté cet article d'un revers méprisant de la main. Notre ministre du budget sait pertinemment (pour une fois) que la France est pour le moment protégée par la C.E.
Mais pour combien de temps encore?
Quelques jours après ce premier avertissement d'un journal qui jouit d'une très bonne réputation, la gifle infligée à la france par Moddy's n'en prend que plus de relief.
Finalement, la gifle finale sera infligée au Nouvel Ordre Mondial. Et le coup de pied au cul sera donné au libéralisme.De ce fait, malgré les gesticulations de Pierre Moscovici, malgré la sérènité affichée par président François Hollande, la FRANCE ne pourra JAMAIS se désendetter. Au contraire, la trajectoire économique induite par la politique du gouvernement la mène irrémédiablement à la faillite finale.
La grande claque ne sera pas finalement salutaire
C'est pourtant souvent des opportunités apparaissent dans les parcours de vie des individus. Toutes gifles que les gens reçoivent dans leurs vies peuvent souvent être salutaires. Ces claques servent de levier pour mieux rebondir à la condition de savoir en examiner les causes avec lucidité et se remettre en question.
Or l'idéologie libérale ne tolère aucune remise en question idéologique car cela serait une menace directe contre les privilèges que se sont accordés les marchés financiers, les banquiers, les spéculateurs. Et donc le Système n'a d'autre destin de d'aller s'écraser sur le mur de la faillite entrainant les peuples dans la misère.
Deux voies se présentent pour sortir de cette agonie financière
Pour éviter la faillite, le gouvernement ne dispose que de deux voies:
- sortir de l'Europe et redonner à la Banque de France toutes ses prérogatives de création monétaire
- rester dans l'Europe et exiger l'abrogation de l'article 123 obligeant les pays membres à emprunter sur les marchés financiers.
Dommage que cette enfarinade n'ait pas eu les effets négatifs escomptés sur la campagne de François Hollande. Pourtant, après un exercice de la présidence si minable, c'est tout ce qu'il mériterait.Sortir de l'Europe se présente comme la solution la plus probable. Certes, cela entrainera des conséquences inconstestables sur la vie des gens. Mais la porte de sortie de la crise, le bout du tunnel sera perceptible par tous et dans ce cas les efforts indispensables au retour d'une société apaisée seront consentis par les citoyens.
Alors que rester dans l'Europe se revélera un pari impossible et risquerait d'acculer les pays européens à la faillite. Car, sans un refonte en profondeur du fonctionnement politique de la Communauté Européenne rien ne pourra évoluer. or il se trouve que toute modification de la constitution européenne ne pourrait sse réaliser qu'après un vote à l'unanimité des chefs des états membres. C'est ainsi que Valérie Giscard d'Estaing a sciemment érigé cette règle de l'unanimité, pour bloquer une évolution politique de l'Europe qui serait contraire aux intérêts de l'oligarchie internationale. La règle de l'unanimité a été un coup de maître des banquiers. La démocratie libérale est une imposture. Maintenant on le sait, mais ce n'est pas le sujet.
Conclusion
Toujours est-il que la France vient recevoir une gifle magistrale, de subir une humiliation suprême qui aurait dû paraitre insupportable à tous les Français. Le malheurs ne servent de levier d'évolution que lorsqu'on accepte de les analyser avec lucidité et responsabilité.
Et vous, Français, acteurs de l'économie, ouvriers, artisans, chefs d'entreprises, serez-vous capable de rebondir à ce camouflet malheureusement mérité?