VILLIERS-LE-BEL: autopsie d'un procés contre les forces publiques
Notes du webmaster:
Je viens d'ouvrir ce dossier sur ce procès intenté contre les forces de l'ordre dans un simple but de préserver la paix sociale. En fait, il apparait que depuis quelques temps les pouvoirs publics redoutent une explosion du climat social dans certaines banlieues et il apparaît que ce sont toujours les mêmes.
Même s'il est indispensables que les forces de l'ordre doivent respecter les lois et les droits des citoyens, de tous les citoyens, il ne faut pas occulter le fait le métiers des policiers devient périlleux du fait de la conjonction de deux phénomènes:
- d'une part la pusillanimité des institutions humanistes qui prêtent à certains immigrés des qualités qu'ils ne possèdent pas
- d'autre part, la mauvaise foi, pratique courante de ces mêmes immigrés qui proviennent de pays inventeurs du bakchich
Il est important de remettre les évènements dans le bon ordre et de rendre la vraie justice, celle qui s'inspire de l'honnêteté. Notre pays entre désormais dans une période ou les troubles de la paix civile vont de multiplier à cause d'une part des conditions économiques qui vont se détériorer et d'autre part d'une immigration qui n'a pas été choisie et qui se révèle inadaptée à notre culture.
Comment prévenir les catastrophes annoncées? Voilà une question qui devrait être la préoccupation des pouvoirs publics mais à partir d'une analyse lucide de la situation sociale qui existe maintenant dans notre pays.
En prenant, donc les bonnes mesures, c'est à dire à partir d'une analyse qui tiennent compte des différences culturelles dans leurs compatibilités possibles ou non avec une république laïque et surtout le respect des aménagements publics ou communautaires.
Il est clair que chaque citoyen de souche peut se rendre compte, malgré le manque d'informations disponibles du fait de la collusion des milieux journalistiques avec le pouvoir politique et les partis qui censurent les informations que les émeutes naissent toujours dans les cités ou sont regroupées les communautés africaines (surtout maghrébines) alors que le banlieues ou vivent les immigrants asiatiques sont calmes. Il est vrai que les qualités des intégrations ne sont pas identiques. Compme nous pouvons le constater, certaine banlieues, ou certaines communautés sont mieux intégrées que d'autres. Les immigrés asiatiques figurent parmi les plus calmes et les mieux intégrés que les autres.
C'est pourquoi il m'apparait qu'il est urgent d'analyser en profondeur les crises qui surviennent lors des interventions des forces de l'ordre dans ces banlieues problématiques. Sur l'ensemble du territoire français le climat social se dégrade. Bien au contraire de ce qu'espéraient les sociologues, la "mayonnaise" entre les différents cultures n'a pas pris et les communautés se retranchent dans leurs "territoires", les cités ou ils vivement. Sortes de "micro Kosovo" qu'il est dangereux de pénétrer quand on y habite pas.
En apparence, cela rejoint les positions du Front National alors même qu'il n' existe aucun lien entre ce parti politique et moi.
Par contre, grâce aux correspondances du Net, je constate que les craintes légitimes du peuple français sont systématiquement stigmatisées par les forces institutionnelles du politiquement correct, humanistes, à gauche comme à droite. Cela justifie que je me consacre une rubrique à ce sujet dans le respect de la plus stricte honnêteté à partir d'une analyse irréprochable.
Ceci étant fait,ce sera à chaque lecteur de se faire une opinion personnelle.
Rappel des faits
Le 25 novembre 2007, le drame, qui avait coûté la vie à deux adolescents, Mushin et Lakamy (qui se prononce Laramy), dans une collision entre leur moto et une voiture de police. Il faut rappeler que les deux adolescents, morts dimanche soir, circulaient en ne portant pas de casque, roulaient "à vive allure", sur un véhicule "pas homologué". Dans certains articles il est question que cette moto serait volée. Mais il y a une grande différence entre un engin non homogué ou volé. Encore faurait-il retrouver les factures pour identifier les propriétaires.
A la suite de ce tragique accident survenu au cours d'un contrôle de police devaient suivre trois jour d'émeute d'une vilence inouïe au cours desquelles une centaine de policiers avaient été blessés par des tirs d'armes à feu, un commissaire roué de coups, des bâtiments publics et des commerces détruits. De nombreuses interpellations avaient été opérées par les forces de police et les prévenus ont été.
L'annonce du non-lieu intervient le jour de l'ouverture du procès en appel de jeunes accusés de caillassage des forces de l'ordre, en réunion et avec guet-apens.
Une ordonnance de non lieu a été rendue vendredi 23 octobre par le procureur de Pontoise. Les deux policiers qui se trouvaient à bord du véhicule, et en particulier le chauffeur, sont mis hors de cause.
Le procureur a suivi les recommandations de la juge d'instruction de Pontoise, Marie-Thérèse de Givry, et donc a prononcé une ordonnance de non lieu. Ce qui offusque les familles des deux victimes.
Maître Jean-Pierre Mignard, l'avocat des familles des deux jeunes tués à moto a déposé une plainte, vendredi 5 février, contre les policiers pour "faux témoignages".
Pour Me Jean-Pierre Mignard, il faut interroger les policiers qui étaient dans la voiture accidentée sur les divergences entre leurs déclarations et les conclusions du rapport d'expertise. "Il faut demander aux policiers pourquoi ils n'ont pas dit la vérité"
Dans son ordonnance de non lieu, la procureur de Pontoise insistait sur la série de "fautes" commises par les deux adolescents : ils circulaient sans casque, à deux sur une mini-moto non homologuée, dont les freins et les pneus étaient en mauvais état, ils n'avaient pas respecté une priorité à droite et roulaient trop vite, à 66 km/h.
En revanche, elle n'avait pas pris en compte le fait que les policiers roulaient "au-delà de la vitesse maximum autorisée", ni confronté les policiers aux incohérences de leurs déclarations : ceux-ci avaient affirmé rouler à une vitesse inférieure à 50 km/h alors que l'analyse des capteurs du système ABS avait montré qu'ils étaient en fait en phase d'accélération.
"Là où la voiture de police va choquer, heurter le véhicule léger des adolescents, on va passer de 57 à 64 km/h et ça, les policiers le nieront", selon Me Mignard, qui pense que leur objectif était bien de couper la route aux deux jeunes. "Il va falloir le rapport d'expertise judiciaire pour le constater. Donc ils ont caché tout cela au juge d'instruction, à tout le monde d'ailleurs, à leur collègues policiers, au procureur de la République. C'est un faux témoignage," affirme-t-il.
COMMENTAIRES
Des commentaires qui vont plus ressembler à une plaidoirie qu'une véritable analyse critique. Parce que la perte d'un enfant restera toujours un drame quasiment insurmontable pour les parents. Comment ne pas comprendre la réactions spontanée de ces jeunes hurlant contre l'injustice de la vie et proteste de la dispartion de deux de leurs copains qui ne faisaient que s'amuser. Des jeunes qui ne songeaient qu' à s'amuser dans l'inconscience la plus totale. Comme nous l'avons tous su le faire dans nos jeunes années. Que celui ou celle qui n'a pas déboulé de la descente d'une coté sur un engin non réglementaire lève la main. Je ne lèverai bien sur pas la mienne.

Mais autre temps, autres environnement. Autre meurs également, qui proviennent de mode de vie, de mentalités et de culture différents mais aussi d'une crise économique qui sévit et qui rend les chances d'intégration quasiment impossibles. La misère économique, le chômage, l'échec scolaire, l'absence de perspectives, tout cela concoure à une mauvaise image de soi, à une colère permanente envers le monde, envers l'autorité, envers l'État.
Quand on a la chance d'appartenir à une famille, d'avoir des diplômes , posséder la couleur de peau des autochtones, le soutien de sa famille, le chômage et l'inaction ainsi que l'absence de perspectives génère chez l'individu une immense tristesse et parfois de la résignation. Pas encore suffisamment de colère pour inciter les jeunes et les demandeurs d'emplois à descendre dans la rue et à multiplier les manifestations par ailleurs improductives. Que dire alors quand la couleur de la peau, le faciès indiquent une origine étrangère, relie à une réputation d'échec scolaire, d'absence de qualification, et qu'en plus les forces de police ne laissent pas circuler en paix avec ces contrôles d'identité qui reviennent sans cesse. L'absence de soutien familial, un échec scolaire mal digéré, des comportements qui induisent induisent la méfiance et la peur, tout cela concoure à une colère qui explose avec une violence destructrice comme cela a été le cas à Villiers-Le-Bel.
Existe-t-il un espoir raisonnable que cette colère se dissipe peu à peu dans un avenir proche? Malheureusement pas. Les perspectives ne sont pas bonnes. Il convient même d'être pessimiste. La récession économique, une politique gouvernementale de réformes destructrices des conditions sociales, un libéralisme qui n'est plus conforma à la situation économique mondiale, des experts incompétents qui rendent des rapports incompréhensibles, ne portent guère à l'optimisme.
Et le cercle vicieux est enclenché.
Mais pour en revenir à cette affaire, il faut reconnaître qu'en deça de ce drame épouvantable, cela demeure un accident, un homicide involontaire. Ces deux malheureux jeunes circulaient sur la voie publique dont les forces de police ont le devoir de faire respecter l'ordre. Au comportement dangereux de ces jeunes, l'infraction à la circulation devait s'accompagner de dangers pour les usagers et de nuisances sonores. En plus, ils ne sont plus pour le confirmer, mais Akami et Moshin respectaient-ils eux mêmes les limitations de vitesse. Comment demander à des agents de police de respecter eux-même le code de la route dès lors qu'ils ont pour mission d'intercepter un engin qui manifestement l'enfrunt? Et au moment de l'action, croyez-vous que le policier qui conduisait la voiture avait les yeux rivés sur le tableaux de bord plutôt que sur les contreveants? Vous pouvez croire à ça vous, lecteur, intelligent et subtil?
C'est le moment de garder son sang froid. Comme cité plus haut, le cercle infernal de la violence est enclenché. Comme les policiers éprouvent de plus en plus de difficultés à exercer leur métier, alors qu'ils ont le sentiment que les lois républicaines ne concernent pas certaines populations d'immigrés (pas toute si on doit se fier aux statistiques) comment peuvent réagir les fonctionnaires de police. Par de la colère, par des débordements.
Même s'il convient effectivement de punir les excès de brutalité, les délits de faciès, les injures (raciales ou non), les excès de garde à vue, on ne peux pas accuser des policiers de faux témoignages en ce qui concerne les excès de vitesse alors même que nous sommes certains qu'ils n'ont certainement pas eu le temps de regarder le tableau de bord.
C'est cela qui est enrageant. Peu à peu le divorce se creuse entre le peuple d'accueil et certains immigrés qui abusent des lois antiracistes pour réfuter toute critique à leur encontre.
Il faut faire attention maintenant, le climat est explosif et l'avenir est incertain.